Le président du bureau des Assises nationales, Amadou Mahtar Mbow
La section France des assises nationales tient à ce que les conclusions des assises soient utiles pour tous les sénégalais. Elle a proposé un plan d’actions pour obliger le pouvoir libéral à les prendre en compte, à les mettre en œuvre. Dans une déclaration parvenue à la rédaction de pressafrik.com la section France des assises nationale a exhorté la société civile, le patronat, les organisations paysannes, les syndicats, les partis politiques, les associations de quartier, et tous les citoyens sénégalais concernés, y compris la Diaspora, à «s’engager dans un rapport de force, par des mouvements de grève générale et de manifestations populaires si d’aventure le gouvernement actuel refuse d’appliquer les préconisations de sortie de crises proposées».
Les animateurs des assises nationales à l’occident ont estimé que «la mobilisation du peuple sénégalais, principal acteur de cette nouvelle démarche initiée par les Assises, est la meilleure garantie pour rendre incontournables les conclusions des Assises nationales que nous devons porter au plus haut de notre espérance collective pour qu’elles constituent une alternative durable autour des valeurs de travail, de justice sociale, de solidarité, de partage et de démocratie».
Elle a plaidé pour «une appropriation collective et populaire des solutions de sortie de crise proposées par les Assises nationales du Sénégal et la mise en place d’un Comité de Suivi chargé de veiller à l’application effective des conclusions des assises». Avant de demander «à toutes les organisations et entités initiatrices et parties prenantes des Assises nationales à s’engager solennellement et à tout mettre en œuvre pour l’application immédiate des solutions proposées».
Les partisans des assises nationales basés en France ont, par ailleurs, invité leurs compatriotes sénégalais à changer de logique pour en effet, associer pleinement la diaspora à la reconstruction du pays. «D’abord, parce que l’apport économique des Sénégalais de l’extérieur s’est accru et dépasse l’aide publique au développement. Ensuite, parce que plus qu’une niche de financement, les Sénégalais de l’extérieur constituent un capital de compétences utile au redressement économique et moral de notre pays ainsi qu’un rempart salutaire contre la propagation de la pauvreté», ont-ils indiqué.
Ils sont, à ce sujet, convaincus que «cette nouvelle espérance citoyenne est l’essence du combat des Assises nationales, la raison de son organisation, pour l’émergence d’une politique de bon sens, contre l’injustice sociale et la politique de courte vue».
La section des assises nationales en France a, en outre positivement apprécié le mouvement des imams de Guédiawaye et les émeutes de Kédougou. Pour elle, «ces manifestations et les réponses inadéquates de violence menées par l’autorité gouvernementale soulignent, de façon évidente, l’écart entre les attentes des populations, leurs doléances et les politiques publiques. C’est ce décalage chronique qui est à la base du malaise social et de l’absence de perspective pour bon nombre de nos compatriotes».
Les animateurs des assises nationales à l’occident ont estimé que «la mobilisation du peuple sénégalais, principal acteur de cette nouvelle démarche initiée par les Assises, est la meilleure garantie pour rendre incontournables les conclusions des Assises nationales que nous devons porter au plus haut de notre espérance collective pour qu’elles constituent une alternative durable autour des valeurs de travail, de justice sociale, de solidarité, de partage et de démocratie».
Elle a plaidé pour «une appropriation collective et populaire des solutions de sortie de crise proposées par les Assises nationales du Sénégal et la mise en place d’un Comité de Suivi chargé de veiller à l’application effective des conclusions des assises». Avant de demander «à toutes les organisations et entités initiatrices et parties prenantes des Assises nationales à s’engager solennellement et à tout mettre en œuvre pour l’application immédiate des solutions proposées».
Les partisans des assises nationales basés en France ont, par ailleurs, invité leurs compatriotes sénégalais à changer de logique pour en effet, associer pleinement la diaspora à la reconstruction du pays. «D’abord, parce que l’apport économique des Sénégalais de l’extérieur s’est accru et dépasse l’aide publique au développement. Ensuite, parce que plus qu’une niche de financement, les Sénégalais de l’extérieur constituent un capital de compétences utile au redressement économique et moral de notre pays ainsi qu’un rempart salutaire contre la propagation de la pauvreté», ont-ils indiqué.
Ils sont, à ce sujet, convaincus que «cette nouvelle espérance citoyenne est l’essence du combat des Assises nationales, la raison de son organisation, pour l’émergence d’une politique de bon sens, contre l’injustice sociale et la politique de courte vue».
La section des assises nationales en France a, en outre positivement apprécié le mouvement des imams de Guédiawaye et les émeutes de Kédougou. Pour elle, «ces manifestations et les réponses inadéquates de violence menées par l’autorité gouvernementale soulignent, de façon évidente, l’écart entre les attentes des populations, leurs doléances et les politiques publiques. C’est ce décalage chronique qui est à la base du malaise social et de l’absence de perspective pour bon nombre de nos compatriotes».
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