Le nombre exact d'explosions dans la capitale de l'Etat de Borno n'était pas connu dans l'immédiat. Selon un policier, au moins sept déflagrations ont retenti et des habitants ont fait état d'au moins deux bombes attachées à des adolescentes.
Les islamistes de Boko Haram ont de plus en plus recours aux attentats suicide pour frapper la population civile, y compris à Maiduguri, où au moins 117 personnes ont trouvé la mort le 20 septembre dans une vague d'attaques.
"La première bombe était attachée au corps d'une adolescente, qui voulait tuer des fidèles dans le quartier d'Ajilari", a déclaré Bashir Ali, chauffeur dans la zone.
Cet attentat suicide ciblait une mosquée, au moment où les fidèles se préparaient pour la prière du soir vers 19h30 locales (18h30 GMT), a-t-il estimé.
"La tragédie a été évitée car les prières n'ont pas commencé à l'heure et la bombe portée par la fille a explosé, la tuant", a-t-il rapporté, précisant que l'explosion n'avait fait aucune autre victime.
La ville de Maiduguri est sous tension depuis la dernière vague d'attentats, de nombreux habitants craignant un nouveau bain de sang. Le fracas des premières déflagrations ont poussé des habitants à fuir leur domicile.
Bakura Ajiya, un boucher, a pour sa part fait état de trois explosions meurtrières. Il n'a pas précisé le nombre de victimes.
Selon lui, une autre adolescente transportait une bombe qui ne s'est pas déclenchée.
"Lorsqu'elle a tenté de fuir, la police l'a blessée par balles à la jambe", a-t-il dit.
S'exprimant sous condition d'anonymat, un responsable policier a indiqué qu'"environ sept explosions" s'étaient produites, mais que les autorités étaient toujours en train d'obtenir des informations.
"Je ne peux pas vous donner de bilan des victimes pour l'instant", a-t-il déclaré.
Les détails des explosions ainsi que le nombre de victimes ne seront probablement pas connus avant vendredi, Maiduguri étant assujettie à un couvre-feu nocturne.
Source : VOA La voix de l'Amérique
Les islamistes de Boko Haram ont de plus en plus recours aux attentats suicide pour frapper la population civile, y compris à Maiduguri, où au moins 117 personnes ont trouvé la mort le 20 septembre dans une vague d'attaques.
"La première bombe était attachée au corps d'une adolescente, qui voulait tuer des fidèles dans le quartier d'Ajilari", a déclaré Bashir Ali, chauffeur dans la zone.
Cet attentat suicide ciblait une mosquée, au moment où les fidèles se préparaient pour la prière du soir vers 19h30 locales (18h30 GMT), a-t-il estimé.
"La tragédie a été évitée car les prières n'ont pas commencé à l'heure et la bombe portée par la fille a explosé, la tuant", a-t-il rapporté, précisant que l'explosion n'avait fait aucune autre victime.
La ville de Maiduguri est sous tension depuis la dernière vague d'attentats, de nombreux habitants craignant un nouveau bain de sang. Le fracas des premières déflagrations ont poussé des habitants à fuir leur domicile.
Bakura Ajiya, un boucher, a pour sa part fait état de trois explosions meurtrières. Il n'a pas précisé le nombre de victimes.
Selon lui, une autre adolescente transportait une bombe qui ne s'est pas déclenchée.
"Lorsqu'elle a tenté de fuir, la police l'a blessée par balles à la jambe", a-t-il dit.
S'exprimant sous condition d'anonymat, un responsable policier a indiqué qu'"environ sept explosions" s'étaient produites, mais que les autorités étaient toujours en train d'obtenir des informations.
"Je ne peux pas vous donner de bilan des victimes pour l'instant", a-t-il déclaré.
Les détails des explosions ainsi que le nombre de victimes ne seront probablement pas connus avant vendredi, Maiduguri étant assujettie à un couvre-feu nocturne.
Source : VOA La voix de l'Amérique
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