Les ANE ont présenté les résultats de la recherche-action réalisée dans les régions de Dakar, Matam, Tambacounda et Kédougou. Ils ont passé en revue, les modalités d’une meilleure implication de la société civile, dans les stratégies de développement en partenariat avec OSIWA. « Cette recherche est faite sur un échantillon de 1400 citoyens et citoyennes réparti dans les différent département des régions ciblées… », a déclaré la Présidente de l’ANE.
Prenant part à cet atelier, René Pascal Diouf, magistrat à la Cour des Comptes a plaidé pour la prise en compte de la perception que les populations ont de son travail. « la Cour des Comptes exerce sa mission au nom du peuple Sénégalais. Tous les jugements que nous rendons, c’est au nom de ce peuple. Donc, il est important que la Cour des Comptes ait un feed- back de la perception que les populations ont de son travail. Ce travail permettra à la Cour des Comptes d’élaborer un plan d’action afin de mieux se faire connaitre par les sénégalais. Commencer à faire un travail de vulgarisation ».
Selon le magistrat, le fait que la majorité de la population ignore la Cour des comptes n’est pas une surprise pour eux. « Mêmes ceux qui ont un certain niveau intellectuel méconnaissent la Cour des Comptes… », sert-il. L’objectif général de l’atelier est de renforcer la participation citoyenne pour une meilleure gouvernance économique. Les résultats suivants sont attendus à l’issue de cet atelier: la recherche-action sur la perception des corps / organes de contrôles et de régulation est partagée et diffusée, un plan d’action de communication et d’interpellation citoyenne sur le corps /organe organes de contrôles et de régulation est validé.
Prenant part à cet atelier, René Pascal Diouf, magistrat à la Cour des Comptes a plaidé pour la prise en compte de la perception que les populations ont de son travail. « la Cour des Comptes exerce sa mission au nom du peuple Sénégalais. Tous les jugements que nous rendons, c’est au nom de ce peuple. Donc, il est important que la Cour des Comptes ait un feed- back de la perception que les populations ont de son travail. Ce travail permettra à la Cour des Comptes d’élaborer un plan d’action afin de mieux se faire connaitre par les sénégalais. Commencer à faire un travail de vulgarisation ».
Selon le magistrat, le fait que la majorité de la population ignore la Cour des comptes n’est pas une surprise pour eux. « Mêmes ceux qui ont un certain niveau intellectuel méconnaissent la Cour des Comptes… », sert-il. L’objectif général de l’atelier est de renforcer la participation citoyenne pour une meilleure gouvernance économique. Les résultats suivants sont attendus à l’issue de cet atelier: la recherche-action sur la perception des corps / organes de contrôles et de régulation est partagée et diffusée, un plan d’action de communication et d’interpellation citoyenne sur le corps /organe organes de contrôles et de régulation est validé.
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