« Le problème a été identifié et a fait l’objet d’un rapport d’expertise il y a longtemps de cela. Sous la direction du recteur chargé de cela au ministère de l’habitat, nous nous réunissons autour de ce dossier-là une fois tous les quinze jours, nous avons demandé aux habitants de déménager parce que nous avons effectivement identifié les risques potentiels qu’il y avait dans cet immeuble. Ils ont tous donc reçu des correspondances par voie d’huissier qui leur disaient que le 11 au plus tard, ils devaient quitter cet immeuble », s’est expliqué au micro de la RFM, le secrétaire général de la SN HLM Ibrahima Diop.
Ce qui a causé le problème selon M. Diop, c’est qu’en dehors de ceux qui sont partis, d’autres sont restés et veulent eux-mêmes trouver leur site de relogement. La SN HLM affirme avoir fait les chèques qui sont à la disposition des victimes.
La société d’habitat soutient avoir donné la date du 11 janvier comme dernier délai, alors que l’affaissement de l’immeuble est survenu le 12 janvier.
Ce qui a causé le problème selon M. Diop, c’est qu’en dehors de ceux qui sont partis, d’autres sont restés et veulent eux-mêmes trouver leur site de relogement. La SN HLM affirme avoir fait les chèques qui sont à la disposition des victimes.
La société d’habitat soutient avoir donné la date du 11 janvier comme dernier délai, alors que l’affaissement de l’immeuble est survenu le 12 janvier.
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