Le front contre le dialogue du Président Macky Sall s'élargie de plus en plus. Après le refus de 16 candidats regroupés au tour de FC25, 18 organisations de la société civile ont dit non à la main tendue du chef de l'Etat. Pour le fondateur de l’Afrikajom Center ceci à une explication.
C ’est parce que le dialogue « tel que désiré par le Président Macky Sall avec la participation d’acteurs qui ne figurent pas sur la liste des candidats désignés par Conseil Constitutionnel ne passe pas et pire il constitue réellement un sérieux obstacle, un obstacle objectif et subjectif qui soulève, défiance, colère et indignation. »
Alioune Tine estime qu’il faut considérer ce « modèle de dialogue comme non désiré, voire mort-né et y renoncer. »
Le vétéran de la lutte pour les droits de l’homme explique quand s’appuyant d’ailleurs sur les arguments, critères et valeurs soulevés par le Président lui-même, c’est à dire l’intérêt supérieur de la Nation, « L’opinion dominante la comprend comme l’application littérale de la décision du Conseil Constitutionnel d’abord, c’est tout le sens d’une fixation, d’une obsession d’une obstination collective sur la fixation de la date ».
Alioune Tine invite les spoliés à « renoncer » à toute participation du dialogue par respect à la décision du Conseil constitutionnel et « quel que soit le poids de « l’injustice » présumée.
De cette même manière, Alioune Tine Tine appelle le chef de l’Etat à poursuivre sa politique de réconciliation et de concorde nationale et d’apaisement du champ politique sans états d’âme, « en libérant le plus vite possible Ousmane Sonko et le candidat Bassirou Diomaye Faye et tous leurs partisans emprisonnés ».
C ’est parce que le dialogue « tel que désiré par le Président Macky Sall avec la participation d’acteurs qui ne figurent pas sur la liste des candidats désignés par Conseil Constitutionnel ne passe pas et pire il constitue réellement un sérieux obstacle, un obstacle objectif et subjectif qui soulève, défiance, colère et indignation. »
Alioune Tine estime qu’il faut considérer ce « modèle de dialogue comme non désiré, voire mort-né et y renoncer. »
Le vétéran de la lutte pour les droits de l’homme explique quand s’appuyant d’ailleurs sur les arguments, critères et valeurs soulevés par le Président lui-même, c’est à dire l’intérêt supérieur de la Nation, « L’opinion dominante la comprend comme l’application littérale de la décision du Conseil Constitutionnel d’abord, c’est tout le sens d’une fixation, d’une obsession d’une obstination collective sur la fixation de la date ».
Alioune Tine invite les spoliés à « renoncer » à toute participation du dialogue par respect à la décision du Conseil constitutionnel et « quel que soit le poids de « l’injustice » présumée.
De cette même manière, Alioune Tine Tine appelle le chef de l’Etat à poursuivre sa politique de réconciliation et de concorde nationale et d’apaisement du champ politique sans états d’âme, « en libérant le plus vite possible Ousmane Sonko et le candidat Bassirou Diomaye Faye et tous leurs partisans emprisonnés ».
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