L'Amicale des cadres de la Rts (Acarts) a produit un communiqué pour répondre aux attaques de certains opérateurs de télévisions privées sur la part importante du marché publicitaire captée par la télévision publique. Selon les cadres, leurs pourfendeurs font une campagne d'intoxication et entretiennent un faux débat sur le financement de l'audiovisuel public.
Ils ne peuvent pas comprendre que les sondages commandités consacrent certaines chaînes privées les plus regardées par les Sénégalais, et par la suite voir ces dernières rater le wagon des annonceurs qui ne cherchent que la visibilité de leur produit.
"Au surplus les promoteurs de télévisions et de radios privées doivent rester cohérents dans leurs discours. Ils soutiennent généralement avec «sondages » à l’appui que leurs chaines sont plus suivies que les chaines de télévision et de radios de la RTS. Pourtant, ils ont fini de faire un aveu quant à leurs difficultés d’engranger des parts du marché publicitaire. Tout le monde sait que les annonceurs ne sont pas des enfants de chœur. Ils ne font confiance à la RTS ni par complaisance, ni par philanthropie, encore moins par injonction de l’Etat. Ils ont besoin de visibilité pour leurs produits et ils savent que la RTS est la Télévision des Sénégalais", indiquent les cadres de la Rts dans le document/
Aussi précisent-ils : "Au Sénégal, aucune disposition législative ou réglementaire ne limite, encore moins, n’interdit au service public de l’audiovisuel de prendre des parts sur le marché publicitaire. En l’espèce, il importe de souligner que l’Etat ne peut pas interdire à un opérateur audiovisuel public d’accéder à la publicité. Tout au plus, il peut réglementer le temps d’antenne réservé à la publicité".
Ils ne peuvent pas comprendre que les sondages commandités consacrent certaines chaînes privées les plus regardées par les Sénégalais, et par la suite voir ces dernières rater le wagon des annonceurs qui ne cherchent que la visibilité de leur produit.
"Au surplus les promoteurs de télévisions et de radios privées doivent rester cohérents dans leurs discours. Ils soutiennent généralement avec «sondages » à l’appui que leurs chaines sont plus suivies que les chaines de télévision et de radios de la RTS. Pourtant, ils ont fini de faire un aveu quant à leurs difficultés d’engranger des parts du marché publicitaire. Tout le monde sait que les annonceurs ne sont pas des enfants de chœur. Ils ne font confiance à la RTS ni par complaisance, ni par philanthropie, encore moins par injonction de l’Etat. Ils ont besoin de visibilité pour leurs produits et ils savent que la RTS est la Télévision des Sénégalais", indiquent les cadres de la Rts dans le document/
Aussi précisent-ils : "Au Sénégal, aucune disposition législative ou réglementaire ne limite, encore moins, n’interdit au service public de l’audiovisuel de prendre des parts sur le marché publicitaire. En l’espèce, il importe de souligner que l’Etat ne peut pas interdire à un opérateur audiovisuel public d’accéder à la publicité. Tout au plus, il peut réglementer le temps d’antenne réservé à la publicité".
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