Les faits se sont déroulés à 5 h 40 (heure locale) ce mercredi matin. Un individu est arrivé sur une moto provenant d’une rue adjacente à l’ambassade des Etats-Unis. Il descend, la moto repart.
Puis, il se met à tirer en l’air, progressant en direction de la chancellerie. Les agents de sécurité de l’ambassade se barricadent, l’homme avance dans la rue qui n’est pas très animée. Il tire à nouveau en direction du bâtiment officiel, mais sans atteindre quelqu’un. Un militaire, qui passait à moto s’arrête, engage une discussion avec lui avant de le maîtriser.
Peu d’informations
Entre temps les renforts accourent. L’homme, un fonctionnaire d’une trentaine d’années, est remis aux policiers qui l’interrogent en ce moment sur ses motivations. Des documents retrouvés sur lui attestent de son adhésion à l’organisation Etat islamique (EI).
Très peu d’informations filtrent pour le moment. Mais plusieurs sources sécuritaires privilégient la piste d’un acte isolé. Les mêmes sources rappellent qu’il y a quelques mois, un homme avait foncé sur la présidence en criant « Allahou akbar », avant d’être abattu.
Puis, il se met à tirer en l’air, progressant en direction de la chancellerie. Les agents de sécurité de l’ambassade se barricadent, l’homme avance dans la rue qui n’est pas très animée. Il tire à nouveau en direction du bâtiment officiel, mais sans atteindre quelqu’un. Un militaire, qui passait à moto s’arrête, engage une discussion avec lui avant de le maîtriser.
Peu d’informations
Entre temps les renforts accourent. L’homme, un fonctionnaire d’une trentaine d’années, est remis aux policiers qui l’interrogent en ce moment sur ses motivations. Des documents retrouvés sur lui attestent de son adhésion à l’organisation Etat islamique (EI).
Très peu d’informations filtrent pour le moment. Mais plusieurs sources sécuritaires privilégient la piste d’un acte isolé. Les mêmes sources rappellent qu’il y a quelques mois, un homme avait foncé sur la présidence en criant « Allahou akbar », avant d’être abattu.
Autres articles
-
Les cas de Mpox augmentent de plus de 500% en Afrique, touchant 19 pays (CDC Afrique)
-
Présidentielle américaine: les accusations de fraudes électorales mettent les assesseurs sous pression
-
Tchad: l'armée accusée d'avoir tué des dizaines de pêcheurs du Borno lors des représailles contre Boko Haram
-
Au Niger, des proches de Bazoum et des chefs rebelles inscrits dans un fichier sécuritaire
-
Crimes contre des journalistes: des cas toujours recensés au Mali et au Burkina Faso