La cloche de la Bourse de Tripoli a retenti, lundi 25 décembre, pour la première fois depuis neuf ans, en présence du Premier ministre du gouvernement d'unité nationale libyen, Abdulhamid al-Dbeibah et d'un parterre d'officiels. Huit des dix compagnies libyennes cotées en bourse étaient enregistrées à l'ouverture du marché, et les autorités espèrent que d'autres seront introduites prochainement.
En relançant les activités boursières, les autorités libyennes veulent redynamiser l'économie locale pour booster le PIB et réduire le déficit budgétaire. Il s'agit d'un pas supplémentaire pour restaurer la confiance dans les institutions financières et attirer les investisseurs, tout en offrant aux Libyens la possibilité de placer leur argent de manière « plus sûre que dans une banque » selon les autorités.
Celles-ci comptent sur la reprise des échanges pour favoriser l'entrepreneuriat et la culture du commerce en général dans le pays. La bourse libyenne avait fermé ses portes en 2014, au début de la guerre civile à Tripoli comme à Benghazi. Dans la deuxième ville du pays, la Bourse rouvrira en janvier, après la fin des travaux de rénovation.
En relançant les activités boursières, les autorités libyennes veulent redynamiser l'économie locale pour booster le PIB et réduire le déficit budgétaire. Il s'agit d'un pas supplémentaire pour restaurer la confiance dans les institutions financières et attirer les investisseurs, tout en offrant aux Libyens la possibilité de placer leur argent de manière « plus sûre que dans une banque » selon les autorités.
Celles-ci comptent sur la reprise des échanges pour favoriser l'entrepreneuriat et la culture du commerce en général dans le pays. La bourse libyenne avait fermé ses portes en 2014, au début de la guerre civile à Tripoli comme à Benghazi. Dans la deuxième ville du pays, la Bourse rouvrira en janvier, après la fin des travaux de rénovation.
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