Le chef de L’Etat Macky Sall va procéder ce jeudi 26 décembre 2019 à l’installation du comité de pilotage du dialogue national. Une cérémonie qui verra la participation de certaines formations politiques. Mais, le collectif « Noo Lank » qui ne compte pas être de la partie a émis une requête aux parties prenantes, pour dire que la stabilité sociale et la paix civile passeront d’abord pour la libération prochaine de tous les « otages du Palais »
« Au moment où le comité de pilotage du dialogue nationale va être installé officiellement, nous en profitons pour lancer un appel aux acteurs qui y prennent part pour poser la libération immédiate et sans condition de nos trois (3) camarades comme une question préalable. Rien ne peut expliquer de dialoguer comme si de rien n’était, avec un président qui dénie aux autres le droit de s’exprimer librement par la parole, l’image, la plume, la marche que leur confrère la Constitution », soutient Fadel Barro, en marge d'une conférence de presse tenue, ce jeudi pour annoncer le plan d'actions du collectif "Noo Lank".
Notant ainsi que le président a déjà user « de cette même violence contre les leaders des principales organisations politiques participant au dialogue », le collectif estime qu’il n’a pas besoin de prêcher des acteurs déjà convaincus de la nécessité « de mettre en pratique une solidarité agissante contre ce régime de violences.»
Le collectif annonce que les prochaines rencontres avec les organisations et leurs responsables permettront de recueillir directement leurs avis et positions sur la libération de leur camarades comme préalable à la suite du dialogue national.
« Au moment où le comité de pilotage du dialogue nationale va être installé officiellement, nous en profitons pour lancer un appel aux acteurs qui y prennent part pour poser la libération immédiate et sans condition de nos trois (3) camarades comme une question préalable. Rien ne peut expliquer de dialoguer comme si de rien n’était, avec un président qui dénie aux autres le droit de s’exprimer librement par la parole, l’image, la plume, la marche que leur confrère la Constitution », soutient Fadel Barro, en marge d'une conférence de presse tenue, ce jeudi pour annoncer le plan d'actions du collectif "Noo Lank".
Notant ainsi que le président a déjà user « de cette même violence contre les leaders des principales organisations politiques participant au dialogue », le collectif estime qu’il n’a pas besoin de prêcher des acteurs déjà convaincus de la nécessité « de mettre en pratique une solidarité agissante contre ce régime de violences.»
Le collectif annonce que les prochaines rencontres avec les organisations et leurs responsables permettront de recueillir directement leurs avis et positions sur la libération de leur camarades comme préalable à la suite du dialogue national.
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