«L’Union du Congo demande au Conseil des Nations Unies non seulement de maintenir en place les éléments de la Monuc, mais surtout de leur confier, outre leurs missions actuelles, le mandat de veiller au bon déroulement des élections locales et régionales, présidentielles ainsi que législatives de 2011» fait-on remarquer.
Cette sortie fait suite à la déclaration de l’adjoint de Ban ki Moon.
Selon M. Alain Leroy, chargé des opérations de maintien de la paix, les autorités congolaises ont demandé à la Mission des Nations Unies en République Démocratique du Congo (Monuc) de commencer son « désengagement progressif » à partir de fin juin. Ce qui n’est pas une bonne nouvelle si on se fie aux présomptions de l’Union des Congolais.
Pour cette Formation, le départ de la Monuc rendrait davantage perméable la frontière orientale, avec ce que cela comporterait comme conséquences : à savoir l’entrée massive des populations étrangères ainsi que l’attribution des cartes d’identité et d’électeur à ces personnes pour leur permettre de prendre part au scrutin de 2011.
D’aucuns se demandent, compte tenu de l’instabilité en cours dans l’Est du pays, si le retrait de la Monuc du Congo ne laissera pas le champ libre aux violations, par les différents groupes armés, du droit humanitaire international et des droits de l’Homme.
Forte de ces arguments, l’Union du Congo s’interroge sur les motifs réels qui ont poussé les autorités congolaises à vouloir le départ précipité des forces onusiennes.
Ces Forces de la Monuc soutiennent les Forces Armées de la République Démocratique du Congo (FARDC) dans les différentes opérations relatives à la sécurisation des territoires sur lesquelles Kinshasa n’exerce aucune autorité lit-on dans le document.
Cette sortie fait suite à la déclaration de l’adjoint de Ban ki Moon.
Selon M. Alain Leroy, chargé des opérations de maintien de la paix, les autorités congolaises ont demandé à la Mission des Nations Unies en République Démocratique du Congo (Monuc) de commencer son « désengagement progressif » à partir de fin juin. Ce qui n’est pas une bonne nouvelle si on se fie aux présomptions de l’Union des Congolais.
Pour cette Formation, le départ de la Monuc rendrait davantage perméable la frontière orientale, avec ce que cela comporterait comme conséquences : à savoir l’entrée massive des populations étrangères ainsi que l’attribution des cartes d’identité et d’électeur à ces personnes pour leur permettre de prendre part au scrutin de 2011.
D’aucuns se demandent, compte tenu de l’instabilité en cours dans l’Est du pays, si le retrait de la Monuc du Congo ne laissera pas le champ libre aux violations, par les différents groupes armés, du droit humanitaire international et des droits de l’Homme.
Forte de ces arguments, l’Union du Congo s’interroge sur les motifs réels qui ont poussé les autorités congolaises à vouloir le départ précipité des forces onusiennes.
Ces Forces de la Monuc soutiennent les Forces Armées de la République Démocratique du Congo (FARDC) dans les différentes opérations relatives à la sécurisation des territoires sur lesquelles Kinshasa n’exerce aucune autorité lit-on dans le document.
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