La Société civile qui se dit très préoccupée par le contexte pré-électoral tendu, s’est réunie le vendredi 25 janvier 2019, à l’initiative du COSCE/PFANE, de Gorée Institute et du CERADD/UGB, en atelier sur la thématique du processus électoral au Sénégal.
Les discussions ont été structurées autour de trois thématiques, à savoir : Le processus électoral au Sénégal, entre gestion et régulation : à la recherche des causes explicatives d’une instabilité vécue, l’évolution du fichier électoral depuis 2012, Identification des leviers d’apaisement des tensions électorales, lit-on dans un communiqué parvenu à la rédaction.
Ainsi donc, dans un court terme, la Société civile envisage, en perspectives de l’échéance électorale majeure : "Analyser les points pendants, d’identifier les actions les plus urgentes à mener pour donner un contenu aux actions de facilitation, de médiation portée par la Société civile depuis l’amorce du processus électoral, faciliter les accords et les compromis susceptibles de rassurer toutes les parties prenantes aux garanties d’un scrutin apaisé et crédible, effectuer de la surveillance, de l’alerte et de la veille citoyenne pouvant contribuer à produire de l’information se rapportant au scrutin, crédible aux fins d’aide à la décision. Sensibiliser les populations sur les principes de paix et de justice, favoriser des échanges mettant l’accent sur les contenus programmatiques proposés par les acteurs en compétition, en rapport avec les défis sociaux, environnementaux, économiques, politiques du Sénégal, organiser un grand rassemblement national pour informer les populations après avoir rencontré les acteurs".
La Société civile en appelle ainsi à la responsabilité de tous les acteurs, en espérant pouvoir compter sur leur disponibilité et leur bonne disposition à apporter toute l’aide utile et nécessaire pour fonder et garantir la tenue d’un scrutin répondant aux normes et standards internationaux, gage de paix et de stabilité.
Les discussions ont été structurées autour de trois thématiques, à savoir : Le processus électoral au Sénégal, entre gestion et régulation : à la recherche des causes explicatives d’une instabilité vécue, l’évolution du fichier électoral depuis 2012, Identification des leviers d’apaisement des tensions électorales, lit-on dans un communiqué parvenu à la rédaction.
Ainsi donc, dans un court terme, la Société civile envisage, en perspectives de l’échéance électorale majeure : "Analyser les points pendants, d’identifier les actions les plus urgentes à mener pour donner un contenu aux actions de facilitation, de médiation portée par la Société civile depuis l’amorce du processus électoral, faciliter les accords et les compromis susceptibles de rassurer toutes les parties prenantes aux garanties d’un scrutin apaisé et crédible, effectuer de la surveillance, de l’alerte et de la veille citoyenne pouvant contribuer à produire de l’information se rapportant au scrutin, crédible aux fins d’aide à la décision. Sensibiliser les populations sur les principes de paix et de justice, favoriser des échanges mettant l’accent sur les contenus programmatiques proposés par les acteurs en compétition, en rapport avec les défis sociaux, environnementaux, économiques, politiques du Sénégal, organiser un grand rassemblement national pour informer les populations après avoir rencontré les acteurs".
La Société civile en appelle ainsi à la responsabilité de tous les acteurs, en espérant pouvoir compter sur leur disponibilité et leur bonne disposition à apporter toute l’aide utile et nécessaire pour fonder et garantir la tenue d’un scrutin répondant aux normes et standards internationaux, gage de paix et de stabilité.
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