Dans une épaisse fumée noire, quelques flammes dansent encore sous la devanture calcinée d’une célèbre boîte de nuit installée dans le stade omnisports tandis que les pompiers de la Minusca s’activent pour limiter les dégâts, rapporte notre correspondant à Bangui, Carol Valade.
« Nous avons souligné beaucoup de dysfonctionnements liés au système de branchement illicite, etc. Vous pouvez voir, même la sortie aussi de secours est occupée par une boite de nuit. Nous avons travaillé pour arrêter parce que la gestion de cette infrastructure appartient en partie à mon cabinet. Donc, il y a des responsabilités personnelles aussi à tirer », témoigne le ministre de la Jeunesse et des sports, Aristide Briand Reboas.
La crainte que la structure soit fragilisée
L'ensemble du bâtiment n'a pas été touché mais les flammes ont consumé l'aile droite extérieure du stade. Christian Aimé Ndota passait par là quand le feu s'est déclaré, ce lundi matin a 8h20 locale. « Le parquet n' pas été touché, les tribunes non plus mais l'on peut apercevoir de la noirceur à l'entrée de certaines tribunes, cela est dû à la fumée qui avait envahi le l'intérieur ».
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Des dizaines de commerces sont partis en fumée. Il ne reste que les murs de l'aile droite du stade. Le président sortant de la Fédération centrafricaine de Basketball, Serge Singa Bengba craint que la structure de l'édifice soit fragilisée. « Cet incendie peut avoir fragilisé les infrastructures et nous voulons absolument que des spécialistes puissent regarder afin de nous rassurer parce que le championnat de la ligue de Bangui doit démarrer le 15, explique-t-il. Sinon c'est très grave parce que c'est le seul terrain aux normes qui nous permet de jouer au basket ».
Période difficile pour le basket centrafricain
Un événement qui arrive alors que le basket centrafricain traverse une période difficile avec des infrastructures dépassées, comme l’explique Serge Singha Bengba, le président de la Fédération centrafricaine de basket, met en avant : « Vous savez la République centrafricaine a gagné deux fois la coupe d’Afrique des Nations en 1974 et en 1987 et les infrastructures que vous voyez-là ont été construites à l’époque. Aujourd’hui, on n’a plus d’infrastructures. On ne peut pas vouloir à nouveau compter parmi le carré d’as du basket continental si on n’a même pas un seul terrain aux normes ! »
Le ministre a la semaine dernière dissous le bureau exécutif de la fédération pour « incivisme et détournement de fonds ».
« Nous avons souligné beaucoup de dysfonctionnements liés au système de branchement illicite, etc. Vous pouvez voir, même la sortie aussi de secours est occupée par une boite de nuit. Nous avons travaillé pour arrêter parce que la gestion de cette infrastructure appartient en partie à mon cabinet. Donc, il y a des responsabilités personnelles aussi à tirer », témoigne le ministre de la Jeunesse et des sports, Aristide Briand Reboas.
La crainte que la structure soit fragilisée
L'ensemble du bâtiment n'a pas été touché mais les flammes ont consumé l'aile droite extérieure du stade. Christian Aimé Ndota passait par là quand le feu s'est déclaré, ce lundi matin a 8h20 locale. « Le parquet n' pas été touché, les tribunes non plus mais l'on peut apercevoir de la noirceur à l'entrée de certaines tribunes, cela est dû à la fumée qui avait envahi le l'intérieur ».
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Des dizaines de commerces sont partis en fumée. Il ne reste que les murs de l'aile droite du stade. Le président sortant de la Fédération centrafricaine de Basketball, Serge Singa Bengba craint que la structure de l'édifice soit fragilisée. « Cet incendie peut avoir fragilisé les infrastructures et nous voulons absolument que des spécialistes puissent regarder afin de nous rassurer parce que le championnat de la ligue de Bangui doit démarrer le 15, explique-t-il. Sinon c'est très grave parce que c'est le seul terrain aux normes qui nous permet de jouer au basket ».
Période difficile pour le basket centrafricain
Un événement qui arrive alors que le basket centrafricain traverse une période difficile avec des infrastructures dépassées, comme l’explique Serge Singha Bengba, le président de la Fédération centrafricaine de basket, met en avant : « Vous savez la République centrafricaine a gagné deux fois la coupe d’Afrique des Nations en 1974 et en 1987 et les infrastructures que vous voyez-là ont été construites à l’époque. Aujourd’hui, on n’a plus d’infrastructures. On ne peut pas vouloir à nouveau compter parmi le carré d’as du basket continental si on n’a même pas un seul terrain aux normes ! »
Le ministre a la semaine dernière dissous le bureau exécutif de la fédération pour « incivisme et détournement de fonds ».
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