La manifestation du Parti Démocratique Sénégalais (PDS) et ses alliés qui sont regroupés autour du Front Patriotique pour la Défense de la République (FPDR) aura bel et bien lieu, cet après-midi. Foi de Mamadou Diop Decroix. Ceci, malgré l’interdiction du Préfet de Dakar. Le coordonnateur du FPDR est formel là-dessus. Joint par Pressafrik.com, ce dernier ne varie pas dans sa déclaration. «On va aller à la Place de l’Obélisque ». Interpellé sur cette date (31 janvier) qui marque l’anniversaire de la mort de feu Mamadou Diop, étudiant tué lors des manifestations préélectorales en 2012, l’opposant de dire que ce dernier a été trompé.
«C’est un jeune Sénégalais, un citoyen qui exerçait ses droits, maintenant la seule différence, c’est qu’il avait été trompé. On l’a mobilisé sur le problème que ce gars (Wade) n’avait pas le droit de se présenter. Et qu’il fallait venir manifester pour qu’il ne se présente pas ». Ceci, « alors que nos lois prévoient une institution qui est là et qui est chargée de dire qui peut et qui ne peut pas se présenter », sert Mamadou Diop Decroix qui poursuit : « Je suis cohérent et conséquent.
Quand Macky était dans l’opposition et qu’il a été agressé à Makacolibantang, je l’ai dénoncé alors que j’étais ministre. J’ai demandé qu’on le laisse exercer ses droits démocratiques. Je n’ai pas changé. Ce ne sont pas des histoires de politiciens, ce sont des problèmes de principes », marque-t-il en soulignant que la « présence avait été retenu ». Le père de Karim Wade est rentré, hier.
«C’est un jeune Sénégalais, un citoyen qui exerçait ses droits, maintenant la seule différence, c’est qu’il avait été trompé. On l’a mobilisé sur le problème que ce gars (Wade) n’avait pas le droit de se présenter. Et qu’il fallait venir manifester pour qu’il ne se présente pas ». Ceci, « alors que nos lois prévoient une institution qui est là et qui est chargée de dire qui peut et qui ne peut pas se présenter », sert Mamadou Diop Decroix qui poursuit : « Je suis cohérent et conséquent.
Quand Macky était dans l’opposition et qu’il a été agressé à Makacolibantang, je l’ai dénoncé alors que j’étais ministre. J’ai demandé qu’on le laisse exercer ses droits démocratiques. Je n’ai pas changé. Ce ne sont pas des histoires de politiciens, ce sont des problèmes de principes », marque-t-il en soulignant que la « présence avait été retenu ». Le père de Karim Wade est rentré, hier.
Autres articles
-
Assemblée nationale : le Pastef prépare ses députés à la quinzième législature
-
Robert Bourgi sur la « Françafrique » : « Ousmane Sonko-Diomaye, les officiers du Mali, Niger, Burkina…, n’accepteront plus le tutorat »
-
Garde à vue de Moustapha Diakhaté et de Adama Gaye : le Président de la LSDH appelle à "la responsabilité et à la sérénité"
-
Macky Sall tête de liste Takku-Wallu aux législatives : « C’était une faute majeure » Robert Bourgi
-
Amadou Ba aux Sénégalais : « Vous avez démontré la force et la vitalité de notre démocratie »