Président du Parti de la construction et de la solidarité (PCS/Jengu Tabakh), Boubacar Camara est revenu sur ses relations avec Ousmane Sonko et Bassirou Diomaye Faye, respectivement Premier ministre et président de la République du Sénégal. Le superviseur de la campagne du président Ousmane Sonko en 2019, dit, ‘’ne pas se réjouir d’une victoire de ce pourquoi, ils ont combattu pendant des années, ce ne serait pas logique’’. Il précise qu’il y a des ‘’signaux qui montrent qu’on va vers un vrai changement de système’’.
« Mais je ne vois pas pourquoi je ne devrais pas être en parfaite entente avec eux, après avoir combattu pendant six ans, après avoir développé toutes sortes d’alliances, de combats, d’avoir été dans tous les combats, d’avoir été en 2019, un des participants. J’étais le superviseur de la campagne du président Ousmane Sonko en 2019, après toutes ces convergences qu’on a sur les questions programmatiques essentielles, ne pas me réjouir d’une victoire de ce pourquoi on a combattu pendant des années ? Je ne comprends pas. Ce ne serait pas logique », a précisé Boubacar Camara.
Qualifiant certains militants du Pastef d’être des ‘’aventuriers’’, l’invité du Jury du Dimanche interpellé sur cette question, déclare que l’essentiel, c’est la volonté de réaliser les promesses qui ont été formulées. « Il ne faut pas oublier qu’en matière politique, dans les relations entre les partis, les entités et les leaders politiques, l’essentiel, ce sot les offres programmatiques et le camp. Il ne faut pas s’attarder sur les critiques, surtout en période électorale, les critiques sur les méthodes de l’élection, sur les démarches, il ne faut pas rester dans l’émotion. Dans une campagne électorale, vous mettez de l’avant vos avantages comparatifs et vous critiquez effectivement les autres candidats. Ça, c’est accessoire par rapport à l’essentiel. L’essentiel, c’est la construction du pays et la volonté de réaliser les promesses qu’on a formulées », réplique Boubacar Camara.
Parlant du premier mois du duo Diomaye-Sanko, le patron de Jengu Tabakh note qu’il y a des gens qui attendent l’échec. Mais pour lui, ces derniers sont ‘’des guetteurs de faux pas’’. « Alors, moi, je considère qu’aujourd’hui, nous avons des signaux extrêmement importants. Des signaux qui montrent qu’on va vers un vrai changement de système. Il y a des gens qui attendent l’échec. Je les appelle des guetteurs de faux pas, qui sont en train d’ergoter sur des détails. L’essentiel, c’est est-ce qu’il y a la volonté de rompre avec la dilapidation des biens publics. Mais globalement, je considère qu’il n’y a rien à dire. Il faut foncer », a-t-il soutenu.
Pour Boubacar Kamara, affirme « tout dépend de comment on prend la chose ». « Le fait que dans un premier temps, avec la situation qu’on traverse, et avec surtout les résultats des rapports, et avec le comportement de certains anciens dirigeants, qu’on prenne des mesures pour changer immédiatement, par des personnes essentielles, que ce soit des personnes compétentes, pour le moment. Mais ça n’enlève en rien le principe qu’il faut aller, pour la neutralité de l’administration, …Donc, je pense que les guetteurs d’alerte, il ne faut pas leur donner du grain à moudre. Ils n’ont qu’à attendre. Ils sont restés ici pendant combien d’années à dire publiquement que celui qui ne gagne pas sa commune perd son poste. Ils ne peuvent pas donner de leçons sur l’appel à candidature. Je pense qu’il faut arrêter ce débat-là. Il faut se mettre au travail, encourager, soutenir le régime ».
« Mais je ne vois pas pourquoi je ne devrais pas être en parfaite entente avec eux, après avoir combattu pendant six ans, après avoir développé toutes sortes d’alliances, de combats, d’avoir été dans tous les combats, d’avoir été en 2019, un des participants. J’étais le superviseur de la campagne du président Ousmane Sonko en 2019, après toutes ces convergences qu’on a sur les questions programmatiques essentielles, ne pas me réjouir d’une victoire de ce pourquoi on a combattu pendant des années ? Je ne comprends pas. Ce ne serait pas logique », a précisé Boubacar Camara.
Qualifiant certains militants du Pastef d’être des ‘’aventuriers’’, l’invité du Jury du Dimanche interpellé sur cette question, déclare que l’essentiel, c’est la volonté de réaliser les promesses qui ont été formulées. « Il ne faut pas oublier qu’en matière politique, dans les relations entre les partis, les entités et les leaders politiques, l’essentiel, ce sot les offres programmatiques et le camp. Il ne faut pas s’attarder sur les critiques, surtout en période électorale, les critiques sur les méthodes de l’élection, sur les démarches, il ne faut pas rester dans l’émotion. Dans une campagne électorale, vous mettez de l’avant vos avantages comparatifs et vous critiquez effectivement les autres candidats. Ça, c’est accessoire par rapport à l’essentiel. L’essentiel, c’est la construction du pays et la volonté de réaliser les promesses qu’on a formulées », réplique Boubacar Camara.
Parlant du premier mois du duo Diomaye-Sanko, le patron de Jengu Tabakh note qu’il y a des gens qui attendent l’échec. Mais pour lui, ces derniers sont ‘’des guetteurs de faux pas’’. « Alors, moi, je considère qu’aujourd’hui, nous avons des signaux extrêmement importants. Des signaux qui montrent qu’on va vers un vrai changement de système. Il y a des gens qui attendent l’échec. Je les appelle des guetteurs de faux pas, qui sont en train d’ergoter sur des détails. L’essentiel, c’est est-ce qu’il y a la volonté de rompre avec la dilapidation des biens publics. Mais globalement, je considère qu’il n’y a rien à dire. Il faut foncer », a-t-il soutenu.
Pour Boubacar Kamara, affirme « tout dépend de comment on prend la chose ». « Le fait que dans un premier temps, avec la situation qu’on traverse, et avec surtout les résultats des rapports, et avec le comportement de certains anciens dirigeants, qu’on prenne des mesures pour changer immédiatement, par des personnes essentielles, que ce soit des personnes compétentes, pour le moment. Mais ça n’enlève en rien le principe qu’il faut aller, pour la neutralité de l’administration, …Donc, je pense que les guetteurs d’alerte, il ne faut pas leur donner du grain à moudre. Ils n’ont qu’à attendre. Ils sont restés ici pendant combien d’années à dire publiquement que celui qui ne gagne pas sa commune perd son poste. Ils ne peuvent pas donner de leçons sur l’appel à candidature. Je pense qu’il faut arrêter ce débat-là. Il faut se mettre au travail, encourager, soutenir le régime ».
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