Le Ministre de l’Économie, du Plan et de la Coopération a déclaré, ce vendredi, lors de la revue annuelle conjointe (RAC) que l’Etat du Sénégal renonce à plus de 47 milliards de F CFA de droit et de taxe pour pouvoir soutenir la baisse des prix.
« En dépit du contexte difficile, nous devons garder espoir au regard des perspectives de relance de notre économie qui verra sa croissance augmentée en 2021 à 5%. Parlant de l’augmentation des prix, je soutiens que l’Etat renonce à plus de 47 milliards de F CFA de droit et de taxe pour pouvoir soutenir la baisse des prix », note Amadou Hott.
Sur le plan macroéconomique, la période sous revue a été marquée, selon le résumé du rapport de synthèse, par un ralentissement de la croissance économique dû aux effets de la crise sanitaire. La politique de rationalisation des dépenses de fonctionnement s'est poursuivie en 2020. Toutefois, le déficit budgétaire est ressorti à 6,4% du PIB en 2020 contre 3,9% du PIB en 2019, soit une détérioration de 2,5 points de pourcentage, imputable en partie à la mise en œuvre urgente du Programme de Résilience économique et sociale (PRES) exécuté à 1 000 milliards F CFA, soit 7% du PIB.
L'encours de la dette publique totale se situe à 8 904,7 milliards de F CFA en 2020, contre 7 825,2 milliards en 2019, soit un accroissement de 13,8%. Le ratio de la dette publique par rapport au PIB, est ressorti à 62,8% en 2020 contre 57,3% du PIB en 2019.
Il est noté dans le rapport de Synthèse de la RAC que la démarche méthodologique repose sur l'analyse des performances à partir des effets attendus corrélés aux indicateurs de suivi. Elle intègre également l'analyse tendancielle des progrès dans la mise en œuvre des politiques publiques par rapport à leur trajectoire vers l'atteinte des Objectifs de Développement durable (ODD) et de l'Agenda 2063 de I‘Union Africaine.
« En dépit du contexte difficile, nous devons garder espoir au regard des perspectives de relance de notre économie qui verra sa croissance augmentée en 2021 à 5%. Parlant de l’augmentation des prix, je soutiens que l’Etat renonce à plus de 47 milliards de F CFA de droit et de taxe pour pouvoir soutenir la baisse des prix », note Amadou Hott.
Sur le plan macroéconomique, la période sous revue a été marquée, selon le résumé du rapport de synthèse, par un ralentissement de la croissance économique dû aux effets de la crise sanitaire. La politique de rationalisation des dépenses de fonctionnement s'est poursuivie en 2020. Toutefois, le déficit budgétaire est ressorti à 6,4% du PIB en 2020 contre 3,9% du PIB en 2019, soit une détérioration de 2,5 points de pourcentage, imputable en partie à la mise en œuvre urgente du Programme de Résilience économique et sociale (PRES) exécuté à 1 000 milliards F CFA, soit 7% du PIB.
L'encours de la dette publique totale se situe à 8 904,7 milliards de F CFA en 2020, contre 7 825,2 milliards en 2019, soit un accroissement de 13,8%. Le ratio de la dette publique par rapport au PIB, est ressorti à 62,8% en 2020 contre 57,3% du PIB en 2019.
Il est noté dans le rapport de Synthèse de la RAC que la démarche méthodologique repose sur l'analyse des performances à partir des effets attendus corrélés aux indicateurs de suivi. Elle intègre également l'analyse tendancielle des progrès dans la mise en œuvre des politiques publiques par rapport à leur trajectoire vers l'atteinte des Objectifs de Développement durable (ODD) et de l'Agenda 2063 de I‘Union Africaine.