Evoquant cette question de terrorisme, le président de l’Institut panafricain de stratégie (IPS) et organisateur du Forum pour la paix et la sécurité de Dakar de novembre, Cheikh Tidiane Gadio a fait savoir que: «Nous avons maintenant des ennemis: Aqmi au Maghreb, Boko Haram, nous au Sénégal nous avons le culte de la compétence. Nous avons nos références et sommes fiers de notre pratique de la religion. Nous disons que c’est des entreprises de la violence, des défenseurs de l’économie criminelle. Nous avions parlé en son temps d’une base militaire panafricain, mais malheureusement les gens riaient. Aujourd’hui, on met des forces sous régionales panafricaine par pays. Il est urgent de savoir que le terrorisme ne peut pas être vaincu par un seul pays, mais dans l’union. Et le fait de ne pas prendre conscience que l’épicentre du terrorisme mondial s’est déplacé en Afrique est extrêmement grave».
Il ajoute que «l’économie informelle dans certains pays est devenue l’économie des narcotrafiquants, des trafiquants d’armes et d’autre malfaiteurs. Il est urgent de s’asseoir pour développer une stratégie, parce que le problème de l’Afrique, c’est le manque de stratégie par rapport à des défis. Il nous faut une stratégie africaine pour parer à cette menace », a conseillé M. Gadio.
Il ajoute que «l’économie informelle dans certains pays est devenue l’économie des narcotrafiquants, des trafiquants d’armes et d’autre malfaiteurs. Il est urgent de s’asseoir pour développer une stratégie, parce que le problème de l’Afrique, c’est le manque de stratégie par rapport à des défis. Il nous faut une stratégie africaine pour parer à cette menace », a conseillé M. Gadio.