Le président du Parti de la construction et de la solidarité (PCS/Jengu Tabah Boubacar Camara pense que le Sénégal doit se doter d’un mécanisme permanant d’évaluation du préjudice causé par les gouvernants. Pour l’invité du jury du Dimanche, ceux qui sont élus ou nommés pour gérer, optimiser les biens publics dans l’intérêt des populations, ce sont eux-mêmes qui se mettent à piller ce bien public. Selon le candidat malheureux à la présidentielle de 2024, toute mesure qui va dans le sens d’arrêter cette spirale est une mesure à saluer des deux mains.
« Le paradoxe au Sénégal est qu’il faut protéger le bien public contre les gouvernants qui sont censés les gérer en bon père de famille. Le foncier, les ressources naturelles, le bien public : les deniers publics tout ce qui est commande publique, la transparence doit être de mise. Les ressources naturelles tous les contrats qui ont été signés et qui ne sont pas conformes aux intérêts du Sénégal doivent être revus. Le foncier, extraordinaire. Il y a une conséquence énorme sur l’aménagement du territoire, une conséquence énorme sur l’environnement. On ne peut pas se taper le foncier qui appartient à tout le monde comme ça parce que tout simplement, on a été élu, ou-bien on est maire, ou ceci ou cela. Il faut arrêter cela. Et ça, il faut aller jusqu’au bout », a déclaré le président du Parti de la construction et de la solidarité.
Pour Boubacar Camara, « tout le monde doit payer. Il faut que le Sénégal se dote d’un mécanisme permanent d’évaluation du préjudice causé par les gouvernants. Et que ce soit très clair qu’il n’y est pas de deux poids deux mesures. Et aujourd’hui tout le monde doit prendre ses responsabilités, restituer les terres qui ont été obtenues illégalement. Qu’il n’y ait pas de deux poids, deux mesures. Et aujourd’hui, chacun doit prendre ses responsabilités. Restituer les terres qui ont été obtenues illégalement ».
A la question de savoir l’implication de certains chefs religieux d’être également bénéficié de ces terres. L’invité du JDD, précise : « Ce n’est pas un problème de religieux ». Avant d’expliquer par la même occasion : « Il y a des gens qui sont dans un système politique et qui sont des parasites, qui profitent du système politique et qui sont facilités par des gens qui occupent des fonctions. C’est le paradoxe. C’est ça. Ceux qui occupent des fonctions pour sauvegarder le bien public, c’est eux-mêmes qui dilapident le bien public. Il faut leur tenir la main. Il faut paralyser la main prédatrice sur le foncier, les ressources naturelles et le denier public. Ce n’est pas un problème de religieux. Le bien public, c’est le bien public. Si vous ne voulez pas que votre nom soit associé au bien public, n’y touchez pas. C’est aussi simple que ça. C’est ça la rupture. La protection, c’est fini. En-tout-cas, moi, c’est ma conception des choses. La protection, c’est fini. Le bien public, c’est pour tout le monde ».
« Le paradoxe au Sénégal est qu’il faut protéger le bien public contre les gouvernants qui sont censés les gérer en bon père de famille. Le foncier, les ressources naturelles, le bien public : les deniers publics tout ce qui est commande publique, la transparence doit être de mise. Les ressources naturelles tous les contrats qui ont été signés et qui ne sont pas conformes aux intérêts du Sénégal doivent être revus. Le foncier, extraordinaire. Il y a une conséquence énorme sur l’aménagement du territoire, une conséquence énorme sur l’environnement. On ne peut pas se taper le foncier qui appartient à tout le monde comme ça parce que tout simplement, on a été élu, ou-bien on est maire, ou ceci ou cela. Il faut arrêter cela. Et ça, il faut aller jusqu’au bout », a déclaré le président du Parti de la construction et de la solidarité.
Pour Boubacar Camara, « tout le monde doit payer. Il faut que le Sénégal se dote d’un mécanisme permanent d’évaluation du préjudice causé par les gouvernants. Et que ce soit très clair qu’il n’y est pas de deux poids deux mesures. Et aujourd’hui tout le monde doit prendre ses responsabilités, restituer les terres qui ont été obtenues illégalement. Qu’il n’y ait pas de deux poids, deux mesures. Et aujourd’hui, chacun doit prendre ses responsabilités. Restituer les terres qui ont été obtenues illégalement ».
A la question de savoir l’implication de certains chefs religieux d’être également bénéficié de ces terres. L’invité du JDD, précise : « Ce n’est pas un problème de religieux ». Avant d’expliquer par la même occasion : « Il y a des gens qui sont dans un système politique et qui sont des parasites, qui profitent du système politique et qui sont facilités par des gens qui occupent des fonctions. C’est le paradoxe. C’est ça. Ceux qui occupent des fonctions pour sauvegarder le bien public, c’est eux-mêmes qui dilapident le bien public. Il faut leur tenir la main. Il faut paralyser la main prédatrice sur le foncier, les ressources naturelles et le denier public. Ce n’est pas un problème de religieux. Le bien public, c’est le bien public. Si vous ne voulez pas que votre nom soit associé au bien public, n’y touchez pas. C’est aussi simple que ça. C’est ça la rupture. La protection, c’est fini. En-tout-cas, moi, c’est ma conception des choses. La protection, c’est fini. Le bien public, c’est pour tout le monde ».
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