«Le Sénégal est un pays ouvert, un pays d’asile. Depuis l’indépendance, les opposants Africains de tous bords, de tous pays, y ont pu bénéficier de l’asile. Ils ont mené les activités qui sont conformes au droit d’asile », entame le ministre de la Justice qui ne manque toutefois pas de préciser que : «Tous ceux qui se sont conformées à la Convention, savent qu’ils bénéficient de la «Téranga» (hospitalité) sénégalaise ».Dès lors, «il faudrait », selon lui, « donc avoir le sens de la responsabilité pour respecter ces principes qui sont des principes de droit à la fois internes et internationales ».
Avant de se prononcer sur l’affaire Sidya Bayo, « une personne qui », précise le ministre «était au Sénégal et qui était venu de la France, d’origine Gambienne et dans les termes de son séjour au Sénégal en tant qu’opposant, il devait s’abstenir de tout acte de sédition ou de suggestion pouvant mettre en cause la stabilité d’un Etat voisin en l’occurrence la Gambie ». Ce qu’il n’a pas fait, sous-entend la tutelle qui conclut que «la décision de son extradition revient à la Cour suprême ».
Avant de se prononcer sur l’affaire Sidya Bayo, « une personne qui », précise le ministre «était au Sénégal et qui était venu de la France, d’origine Gambienne et dans les termes de son séjour au Sénégal en tant qu’opposant, il devait s’abstenir de tout acte de sédition ou de suggestion pouvant mettre en cause la stabilité d’un Etat voisin en l’occurrence la Gambie ». Ce qu’il n’a pas fait, sous-entend la tutelle qui conclut que «la décision de son extradition revient à la Cour suprême ».