Mamadou Lamine Diallo parle d’un revers de main les conclusions du dialogue et dit être à l’écoute du Dialogue national. Le candidat à l’élection présidentielle de 2024 explique son absence au dialogue national par le fait que le président de la République a appelé à des consultations plutôt qu’à des concertations. Selon lui, cela devait concerner que les 19 candidats déjà retenus par le Conseil constitutionnel.
« Moi, je connais la concertation. Si le président de la République m’appelle à une concertation. La concertation, c’est sérieux. On parle de choses bien précises avec des gens qui en savent quelque chose. Le dialogue-là, c’est une espèce de « khawaré », pour moi, ça ne fait pas avancer les peuples. Ça ne fait pas avancer les États », a-t-il soutenu.
Pour M. Diallo, « là, on parle de politique, on parle d’élection, on parle de la présidentielle. Ça regarde qui ? Les candidats retenus par le Conseil constitutionnel. Moi, je n’ai jamais accepté le dialogue de Macky Sall. S’il m’appelle à une concertation sur une affaire pour laquelle je suis qualifié, la date de l’élection, oui, j’irai. Je discuterai avec lui. Je lui dirai, voilà ce que je pense, Monsieur le Président. Il peut ne pas être d’accord. Est-ce qu’on peut arriver à un consensus, je ne sais pas ?».
Sur les conclusions du dialogue, le président du mouvement Tékki et député à l’Assemblée nationale pense qu’il faut se fier uniquement au Conseil constitutionnel. « Ce qui est valable, c’est ce que le conseil a dit. Le conseil a dit au Président d’organiser l’élection avant le 2 avril. Et à partir du 2 avril, vous ne pouvez pas promulguer votre mandat. Tout le reste, ce sont des spéculations ».
Aux yeux de l’invité du jury du dimanche sur Iradio, Mamadou Lamine Diallo l’élection présidentielle est en cours. Car le décret abrogeant la convocation du corps électoral a été annulé par le Conseil constitutionnel. Pour répondre à ce qui demande la reprise du processus électoral.
« Moi, je connais la concertation. Si le président de la République m’appelle à une concertation. La concertation, c’est sérieux. On parle de choses bien précises avec des gens qui en savent quelque chose. Le dialogue-là, c’est une espèce de « khawaré », pour moi, ça ne fait pas avancer les peuples. Ça ne fait pas avancer les États », a-t-il soutenu.
Pour M. Diallo, « là, on parle de politique, on parle d’élection, on parle de la présidentielle. Ça regarde qui ? Les candidats retenus par le Conseil constitutionnel. Moi, je n’ai jamais accepté le dialogue de Macky Sall. S’il m’appelle à une concertation sur une affaire pour laquelle je suis qualifié, la date de l’élection, oui, j’irai. Je discuterai avec lui. Je lui dirai, voilà ce que je pense, Monsieur le Président. Il peut ne pas être d’accord. Est-ce qu’on peut arriver à un consensus, je ne sais pas ?».
Sur les conclusions du dialogue, le président du mouvement Tékki et député à l’Assemblée nationale pense qu’il faut se fier uniquement au Conseil constitutionnel. « Ce qui est valable, c’est ce que le conseil a dit. Le conseil a dit au Président d’organiser l’élection avant le 2 avril. Et à partir du 2 avril, vous ne pouvez pas promulguer votre mandat. Tout le reste, ce sont des spéculations ».
Aux yeux de l’invité du jury du dimanche sur Iradio, Mamadou Lamine Diallo l’élection présidentielle est en cours. Car le décret abrogeant la convocation du corps électoral a été annulé par le Conseil constitutionnel. Pour répondre à ce qui demande la reprise du processus électoral.