En visite de terrain ce mercredi à Bambeye, Dr Abdou Tenkouano, Directeur du Conseil Ouest et Centre Africain pour la Recherche et le Développement Agricoles (CORAF) est revenu sur les stratégies adoptées pour lutter contre les changements climatiques. Selon lui, les variétés de cycles courts sont une réponse au changement climatique vu les faibles pluviométries de plus en plus courtes, pour faire face aux menaces climatiques.
« Pour lutter contre le changement climatique, nous ne savons pas quelle est la durée de la saison des pluies. Mais nous savons que c’est raccourci. Donc, il faut des variétés de cycles très courts. Ce que vous voyez ici, variétés de petit mil, variété d’arachides, de sésame, donc c’est la réalité du terrain. Nous étions hier dans les bureaux pour parler de ce qu’il faut faire. Vous voyez les variétés de cycles courts dont je vous parlais qui étaient une réponse au changement climatique », a d'emblée rappelé, Dr Abdou Tenkouano.
Selon M. Tenkouano, si nous avons une situation climatique qui constitue un défi pour nous, notre intelligence veut que nous répondions par une approche qui prenne compte de cette réalité, et qui nous permet de produire ce dont nous avons besoin pour notre alimentation.
Parlant des défis, Dr Tenkouano d'ajouter : « L’un des défis majeur au niveau de la recherche, et qui peut être au niveau des utilisateurs, c’est que nous avons beaucoup travaillé, et on nous dit qu’on n’a pas beaucoup adopté. Et nous, nous sommes rendus compte que l’un des maillons manquant c’était le faire savoir. Le faire savoir ici est fait sous forme de vitrine. Il soutient que c’est un effet d’entraînement qui permet d’accélérer le transfert des technologies performent de la station de recherche vers les utilisateurs pour augmenter notre productivité, notre production dans le but de satisfaire la sécurité alimentaire et nutritionnelle ».
« Pour lutter contre le changement climatique, nous ne savons pas quelle est la durée de la saison des pluies. Mais nous savons que c’est raccourci. Donc, il faut des variétés de cycles très courts. Ce que vous voyez ici, variétés de petit mil, variété d’arachides, de sésame, donc c’est la réalité du terrain. Nous étions hier dans les bureaux pour parler de ce qu’il faut faire. Vous voyez les variétés de cycles courts dont je vous parlais qui étaient une réponse au changement climatique », a d'emblée rappelé, Dr Abdou Tenkouano.
Selon M. Tenkouano, si nous avons une situation climatique qui constitue un défi pour nous, notre intelligence veut que nous répondions par une approche qui prenne compte de cette réalité, et qui nous permet de produire ce dont nous avons besoin pour notre alimentation.
Parlant des défis, Dr Tenkouano d'ajouter : « L’un des défis majeur au niveau de la recherche, et qui peut être au niveau des utilisateurs, c’est que nous avons beaucoup travaillé, et on nous dit qu’on n’a pas beaucoup adopté. Et nous, nous sommes rendus compte que l’un des maillons manquant c’était le faire savoir. Le faire savoir ici est fait sous forme de vitrine. Il soutient que c’est un effet d’entraînement qui permet d’accélérer le transfert des technologies performent de la station de recherche vers les utilisateurs pour augmenter notre productivité, notre production dans le but de satisfaire la sécurité alimentaire et nutritionnelle ».
Nicole Nkoum, gestionnaire du Projet Tarspro, qui est un projet de mise à l’échelle des technologies pour améliorer la productivité, lutte pour que les technologies soient plus proches des principaux bénéficiaires. « Il y a un grand programme en Afrique de l’Ouest en général qui a duré une dizaine d’années et qui a développé un ensemble de technologie pour améliorer la productivité, du rendement agricole en général. On s’est rendu compte qu’après ce programme, un peu oublier dans les tiroirs, et que les principaux bénéficiaires, les petites exploitations agricoles n’avaient pas accès. Ils ne les connaissaient pas. Ou qu’ils sont très mal utilisés. Donc, ce projet Tarspro financé par la coopération suisse et mise en œuvre par le Coraf, a décidé de diffuser ces technologies, les rendre plus accessibles et permettre au petit exploitant de pouvoir avoir des semences de bonne qualité, en bonne quantité et à de petits prix ».