Les autorités étatiques veulent mettre un terme au phénomène des Jakarta qui prend de l'ampleur dans la capitale sénégalaise. Ce, pour réduire les accidents de la route. Selon le Capitaine Abdoul Aziz Seck, commandant de l’escadron routier de la légion de gendarmeries Ouest, 8 morts sur 10, lors des accidents routiers sont causées par les scooters, les motos Jakarta, en plus des irrégularités comme les problèmes liés aux papiers, le non-port de casque, de masque entre autres outils de protection en cas de choc ou de chute.
« L'autorité a donné des instructions très fermes même. Cela ne peut pas se passer à Dakar. C'est formellement interdit. S'il s'agit de motos pour des livraisons, oui, il n'y a pas de problème, mais pour le transport, c'est impossible pour les conducteurs. L'autorité nous a instruits et on mène des opérations pour arrêter ce fléau », a déclaré le Capitaine Abdoul Aziz Seck.
Selon le Lieutenant de police, commandant au commissariat central de Dakar, El Hadji Malick Niang, la police a pris des dispositions par rapport au phénomène des Jakarta à Dakar. « Pour ce qui concerne ce phénomène des transports « Jakarta », nous avons reçu des instructions fermes, et que des opérations sont en cours pour éradiquer ce fléau », dit-il.
Ils se prononçaient à l'occasion de la cérémonie organisée par L’ONG Partners West Africa – Sénégal (PWA-Sénégal), ce mardi 03 à Dakar, pour lutter contre toutes les formes d’insécurité routière au Sénégal. Cette activité marque la fin de la deuxième phase du projet Sahel Road Safety Initiative (SRSI), financée par le département d’Etat américain à travers l’INL et accompagnée par l’Etat du Sénégal à travers ses démembrements.
En effet, entre 2015 et 2019, les accidents routiers ont occasionné, en moyenne, 644 décès chaque année et coûtent au moins 2 % du PIB, soit environ 163 milliards de F CFA à l’État du Sénégal.
Deux panels ont été organisés et animés par des experts de divers profils, sur les « Enjeux et défis de la Sécurité Routière au Sénégal » et « Stratégies de réduction de la corruption et d’amélioration de la collaboration entre les acteurs du secteur de la sécurité, la société civile et les autorités administratives ».
Les autres défis de la sécurité routière que sont les trafics illicites, l’occupation anarchique de la voie publique, nécessitent d’une collaboration entre les populations civiles et Forces de défense et de sécurité (FDS), la problématique des véhicules hippomobiles et celle des Moto-taxis communément appelées Jakarta, ont été abordés pour une meilleure prise de conscience des différents acteurs.
« L'autorité a donné des instructions très fermes même. Cela ne peut pas se passer à Dakar. C'est formellement interdit. S'il s'agit de motos pour des livraisons, oui, il n'y a pas de problème, mais pour le transport, c'est impossible pour les conducteurs. L'autorité nous a instruits et on mène des opérations pour arrêter ce fléau », a déclaré le Capitaine Abdoul Aziz Seck.
Selon le Lieutenant de police, commandant au commissariat central de Dakar, El Hadji Malick Niang, la police a pris des dispositions par rapport au phénomène des Jakarta à Dakar. « Pour ce qui concerne ce phénomène des transports « Jakarta », nous avons reçu des instructions fermes, et que des opérations sont en cours pour éradiquer ce fléau », dit-il.
Ils se prononçaient à l'occasion de la cérémonie organisée par L’ONG Partners West Africa – Sénégal (PWA-Sénégal), ce mardi 03 à Dakar, pour lutter contre toutes les formes d’insécurité routière au Sénégal. Cette activité marque la fin de la deuxième phase du projet Sahel Road Safety Initiative (SRSI), financée par le département d’Etat américain à travers l’INL et accompagnée par l’Etat du Sénégal à travers ses démembrements.
En effet, entre 2015 et 2019, les accidents routiers ont occasionné, en moyenne, 644 décès chaque année et coûtent au moins 2 % du PIB, soit environ 163 milliards de F CFA à l’État du Sénégal.
Deux panels ont été organisés et animés par des experts de divers profils, sur les « Enjeux et défis de la Sécurité Routière au Sénégal » et « Stratégies de réduction de la corruption et d’amélioration de la collaboration entre les acteurs du secteur de la sécurité, la société civile et les autorités administratives ».
Les autres défis de la sécurité routière que sont les trafics illicites, l’occupation anarchique de la voie publique, nécessitent d’une collaboration entre les populations civiles et Forces de défense et de sécurité (FDS), la problématique des véhicules hippomobiles et celle des Moto-taxis communément appelées Jakarta, ont été abordés pour une meilleure prise de conscience des différents acteurs.