Le porte-parole du Parti Socialiste (PS) précise d’emblée que «le PS est un parti connu pour le respect de la liberté d’expression dans le respect des lois et règlements qui régissent notre pays » mais «ce qu’(il) dit l’engage personnellement ». «Oumar Sarr est un homme politique qui a le droit de s’exprimer et donner ses opinions comme je le fais en ce moment. Mais il ne doit pas oublier que sa liberté s’arrête là où commencent les lois et règlements », formule Abdoulaye Wilane selon qui «(le coordonnateur du PDS (Parti Démocratique Sénégalais)) a prêté le flanc dans une moindre mesure ».
«Nous au parti socialiste, quelle que soit la liberté dont nous disposons, aucun membre du Secrétariat national n’a le droit et la prérogative de produire un communiqué sans une réunion dûment signé», précise-t-il. «Voilà pourquoi je prône le pardon parce que la semaine passée, à travers la presse vous avez entendu un de mes adjoints à la mairie de Kaffrine, qui est un infirmer d’Etat, qui a ses indemnités qu’il perçoit à chaque fin du mois. Pourtant, il m’a accompagné à une cérémonie religieuse et je lui ai offert 50.000 F CFA pour son repas et je lui ai prêté en plus ma voiture…C’est en cours de route qu’il a ouvert mon sac et pris mon chéquier…J’ai tout de même pardonné… », dit Abdoulaye Wilane dans «Le populaire».
«Nous au parti socialiste, quelle que soit la liberté dont nous disposons, aucun membre du Secrétariat national n’a le droit et la prérogative de produire un communiqué sans une réunion dûment signé», précise-t-il. «Voilà pourquoi je prône le pardon parce que la semaine passée, à travers la presse vous avez entendu un de mes adjoints à la mairie de Kaffrine, qui est un infirmer d’Etat, qui a ses indemnités qu’il perçoit à chaque fin du mois. Pourtant, il m’a accompagné à une cérémonie religieuse et je lui ai offert 50.000 F CFA pour son repas et je lui ai prêté en plus ma voiture…C’est en cours de route qu’il a ouvert mon sac et pris mon chéquier…J’ai tout de même pardonné… », dit Abdoulaye Wilane dans «Le populaire».