A Mbane dans la région de Saint-Louis, les activités de l’entreprise SENE DJINDJA sont à l’arrêt. Certains agents sont en grève depuis trois jours. Ils réclament de meilleures conditions de vie.
« Nous sommes en grève pour soumettre un certain nombre d’exigences. Jusque-là, ces demandes n’ont pas été prises en compte. Tant qu’elles ne seront pas prises en compte, nous allons continuer à boycotter. Personne ne va travailler dans l’entreprise », martèle Ousmane Mané, leur porte-parole.
Selon M. Mané, parmi les exigences, il y a la réduction du temps de travail, ou l’augmentation des salaires. « Le temps de travail qu’ils nous accordent ici est de 12 heures de temps à 3 000 F CFA. Et cela doit stopper. S’ils veulent travailler avec nous, de 8 heures à 18 heures qu’il nous paye 5 000 F CFA. Soit qu’ils réduisent le temps en trois cars. Un premier car qui va de 8 heures à 14 heures à 3000 F CFA, deuxième car de 15 heures 21 heures, et un troisième car de 23 à 5 heures du matin », soutient Ousmane Mané.
Poursuivant ces propos, il rappelle qu’il ne s’agit pas par de négociations, ce sont des exigences. « Tant qu’ils ne sont pas prêts à respecter ces exigences que nous leur avons soumises, nous sommes déterminés à paralyser le travail de SENE DJINDJA », dit-il au micro de Walf radio.
« Nous sommes en grève pour soumettre un certain nombre d’exigences. Jusque-là, ces demandes n’ont pas été prises en compte. Tant qu’elles ne seront pas prises en compte, nous allons continuer à boycotter. Personne ne va travailler dans l’entreprise », martèle Ousmane Mané, leur porte-parole.
Selon M. Mané, parmi les exigences, il y a la réduction du temps de travail, ou l’augmentation des salaires. « Le temps de travail qu’ils nous accordent ici est de 12 heures de temps à 3 000 F CFA. Et cela doit stopper. S’ils veulent travailler avec nous, de 8 heures à 18 heures qu’il nous paye 5 000 F CFA. Soit qu’ils réduisent le temps en trois cars. Un premier car qui va de 8 heures à 14 heures à 3000 F CFA, deuxième car de 15 heures 21 heures, et un troisième car de 23 à 5 heures du matin », soutient Ousmane Mané.
Poursuivant ces propos, il rappelle qu’il ne s’agit pas par de négociations, ce sont des exigences. « Tant qu’ils ne sont pas prêts à respecter ces exigences que nous leur avons soumises, nous sommes déterminés à paralyser le travail de SENE DJINDJA », dit-il au micro de Walf radio.