Les habitants du village de Lombal dans le département de Linguère crient leur mal vivre. Ils réclament des infrastructures sociales de base. Le village est relié à Dahra par une route cahoteuse et la case de santé ne dispose pas de personnels qualifiés.
« Je pense que nous sommes nés avec ces difficultés-là. Depuis, j’ai constaté que Lombal a rencontré des difficultés extrêmes du côté de la santé, des routes, et du coté du téléphone. C'est-à-dire le réseau téléphonique. Nous avons une case de santé depuis très longtemps et nous avons essayé de construire deux salles et recruté une sage-femme. Nous payons cette sage-femme avec nos propres moyens. La salle n’est pas bien équipée. Car il n’y a pas de médicament, et de matériel. Nous avons droit à la santé », a déclaré Moussa Ndiaye leur porte-parole.
Poursuivant, il précise que l’activité principale des femmes est le maraîchage. Ce pour évoqué le manque d'eau. « On ne peut pas faire ses activités sans pour autant avoir de l’eau », dit-il.
« Je pense que nous sommes nés avec ces difficultés-là. Depuis, j’ai constaté que Lombal a rencontré des difficultés extrêmes du côté de la santé, des routes, et du coté du téléphone. C'est-à-dire le réseau téléphonique. Nous avons une case de santé depuis très longtemps et nous avons essayé de construire deux salles et recruté une sage-femme. Nous payons cette sage-femme avec nos propres moyens. La salle n’est pas bien équipée. Car il n’y a pas de médicament, et de matériel. Nous avons droit à la santé », a déclaré Moussa Ndiaye leur porte-parole.
Poursuivant, il précise que l’activité principale des femmes est le maraîchage. Ce pour évoqué le manque d'eau. « On ne peut pas faire ses activités sans pour autant avoir de l’eau », dit-il.