Crédit Photo: Oumy Diaw Biennale de Dakar
"Tenir la route’’ ? Tel est le thème choisi cette année par les exposants tunisiens à la 13eme édition de la Biennale de Dakar, qui va se tenir le 3 mai prochain. A cet effet, la délégation tunisienne arrivée à Dakar pour inspecter les lieux de l’exposition, se dit très honorée de cette invitation. Et, le concept de l’exposition va répondre au concept général de la biennale, qui est le rouge. Mais, il s’agit également de mettre l’accent sur les sociétés africaines, notamment à travers la culture de manière à mettre en exergue la dynamique que vivent les pays africains dans leur mutation démocratique et dans leur monde économique.
«C’était un grand honneur pour notre ministre, nos artistes, de venir participer à la 13eme biennale de Dakar. La représentation de la biennale de Dakar est quelque chose de très important. La biennale constitue un espace de rencontre et de visibilité pour leurs créations. Mais également de montrer la part de l’artiste dans ce mouvement d’autonomisation et de maturité en même temps », a déclaré la commissaire de l’exposition Tunisie invitée Rachida Triki.
Pour la représentation de la biennale, indique-t-elle un appel à candidature a été lancé, 52 dossiers ont été reçus. 15 artistes contemporains et15 œuvres ont été sélectionnés.
Rachida Triki a également révélé que cela fait 7ans que la Tunisie vie une sorte de révolution réelle au niveau social, politique et au niveau de la chaine artistique.
A l'en croire, c’est dans cette dynamique de révolution que le concept ‘’comment tenir la route dans ce monde’’ a été choisi. C’est pourquoi explique-elle, leur exposition s’intitule "Tenir la route", vu dans le sens où leurs artistes contemporains, sont à la fois des créateurs, mais ils sont actuellement dans une prise de conscience citoyenne très forte. "Donc, ils participent en quelque sorte à ce processus d’essayer malgré toutes les formes de révolution de tenir la route. « C’est-à-dire de mener à bien cette mutation démocratique afin de défendre les libertés, notamment celles de la création, toute forme de liberté ", a-t-elle dit.
«C’était un grand honneur pour notre ministre, nos artistes, de venir participer à la 13eme biennale de Dakar. La représentation de la biennale de Dakar est quelque chose de très important. La biennale constitue un espace de rencontre et de visibilité pour leurs créations. Mais également de montrer la part de l’artiste dans ce mouvement d’autonomisation et de maturité en même temps », a déclaré la commissaire de l’exposition Tunisie invitée Rachida Triki.
Pour la représentation de la biennale, indique-t-elle un appel à candidature a été lancé, 52 dossiers ont été reçus. 15 artistes contemporains et15 œuvres ont été sélectionnés.
Rachida Triki a également révélé que cela fait 7ans que la Tunisie vie une sorte de révolution réelle au niveau social, politique et au niveau de la chaine artistique.
A l'en croire, c’est dans cette dynamique de révolution que le concept ‘’comment tenir la route dans ce monde’’ a été choisi. C’est pourquoi explique-elle, leur exposition s’intitule "Tenir la route", vu dans le sens où leurs artistes contemporains, sont à la fois des créateurs, mais ils sont actuellement dans une prise de conscience citoyenne très forte. "Donc, ils participent en quelque sorte à ce processus d’essayer malgré toutes les formes de révolution de tenir la route. « C’est-à-dire de mener à bien cette mutation démocratique afin de défendre les libertés, notamment celles de la création, toute forme de liberté ", a-t-elle dit.
Mme Triki reste d’avis que les 15 artistes retenus ont eu à faire des propositions intéressantes. « Vous verrez des œuvres engagées ; des œuvres critiques, celles qui mettent en avant des formes de résistance, tirent la sonnette d’alarme. Il y aura des installations dans ce sens, et des œuvres qui sont dans la pérennité, de quelque chose de valeur qui appartient à la Tunisie. Avec une variété de matériaux, de supports, de la peinture, de la gravure, de la peinture, de la photo. Vous aurez une vision de la pratique artistique contemporaine en Tunisie », liste-t-elle.
A l’en croire toutes ces initiatives rentrent dans le cadre de la recherche d’une évolution et d’une mutation qui permet à l’artiste d’être un acteur social, économique, acteur du changement constitutionnelle.
A l’en croire toutes ces initiatives rentrent dans le cadre de la recherche d’une évolution et d’une mutation qui permet à l’artiste d’être un acteur social, économique, acteur du changement constitutionnelle.