Le groupe scolaire Yavuz Selim SA est désormais une école sénégalo-française du point de vue de l’actionnariat. 64% des parts détenus par des nationaux turcs ont été cédés à des nationaux français. C’est le président du Conseil d’administration, Madiambal Diagne qui l’a annoncé.
«Aujourd'hui, je vous annonce que des privés français ont racheté 64% des actions de Yavuz Selim. Les 36% restant des actions sont détenus par des privés sénégalais », a-t-il expliqué.
Pour lui, « ce qui est importe, pour nous, c’est que notre groupe scolaire reste en place et qu’il ne soit pas impacté par ce que font les autres et que notre patrimoine soit préservé. Il n’est nullement question d’une menace sur notre école et sur notre modèle éducatif ».
Madiambal Diagne de préciser que « l'administration du groupe ne change pas car, les actionnaires majoritaires, à savoir les Français ont fait confiance au personnel administratif qui a fait ses preuves ».
« La Cour suprême n’a pas encore statué dans le fond. Donc, cette décision de la justice est encore pendante. Il n’y a rien qui change sur le tableau. Nous travaillons sereinement et nous et nous ferons la rentrée dans les meilleurs conditions possibles comme par le passé », a-t-il Madiambal Diagne.
Pour sa part, le président de l’Association des parents d’élèves (APE), Bassirou Kébé, a renouvelé sa confiance à la direction de l’établissement.
«Aujourd'hui, je vous annonce que des privés français ont racheté 64% des actions de Yavuz Selim. Les 36% restant des actions sont détenus par des privés sénégalais », a-t-il expliqué.
Pour lui, « ce qui est importe, pour nous, c’est que notre groupe scolaire reste en place et qu’il ne soit pas impacté par ce que font les autres et que notre patrimoine soit préservé. Il n’est nullement question d’une menace sur notre école et sur notre modèle éducatif ».
Madiambal Diagne de préciser que « l'administration du groupe ne change pas car, les actionnaires majoritaires, à savoir les Français ont fait confiance au personnel administratif qui a fait ses preuves ».
« La Cour suprême n’a pas encore statué dans le fond. Donc, cette décision de la justice est encore pendante. Il n’y a rien qui change sur le tableau. Nous travaillons sereinement et nous et nous ferons la rentrée dans les meilleurs conditions possibles comme par le passé », a-t-il Madiambal Diagne.
Pour sa part, le président de l’Association des parents d’élèves (APE), Bassirou Kébé, a renouvelé sa confiance à la direction de l’établissement.