Le collège Yawuz Selim est plus que jamais décidé à saisir la Cour suprême par le biais d’un recours en annulation pour excès de pouvoir et permettre le blocage de la décision. Ce, à la suite de la notification officielle. Pour Me Boucounta Diallo, "cet arrêté n’honore pas notre pays, n’honore par ces auteurs en ce qu’il contribue aujourd’hui à ranger le Sénégal, malheureusement, dans les Républiques qui ont accepté de tordre la loi pour faire plaisir au prince, quelque part ce prince turc".
Il l'a fait s’avoir hier, mercredi en marge d’une conférence de presse qui s’est tenue, à Dakar. Toutefois, il estime que l’Etat a la chance de pouvoir rectifier le tir car il serait humiliant de laisser à la Cour suprême le soin d’apprendre le droit à nos autorités.
Me Diallo dans les colonnes de «Libération», apprend que l’arrêté date du 7 décembre dernier. Il ne peut pas comprendre qu’une autorité politique sénégalaise puisse prendre à la place de l’association une décision aussi grave et mettre devant le fait accompli l’association qui devait d’abord se prononcer si tel est le motif. « En droit, on appelle cela le détournement de pouvoir. Car dans l’arrêté, le but réel visé n’a pas été dit. Nous sommes en face d’une violation », a-t-il fustigé.
Il l'a fait s’avoir hier, mercredi en marge d’une conférence de presse qui s’est tenue, à Dakar. Toutefois, il estime que l’Etat a la chance de pouvoir rectifier le tir car il serait humiliant de laisser à la Cour suprême le soin d’apprendre le droit à nos autorités.
Me Diallo dans les colonnes de «Libération», apprend que l’arrêté date du 7 décembre dernier. Il ne peut pas comprendre qu’une autorité politique sénégalaise puisse prendre à la place de l’association une décision aussi grave et mettre devant le fait accompli l’association qui devait d’abord se prononcer si tel est le motif. « En droit, on appelle cela le détournement de pouvoir. Car dans l’arrêté, le but réel visé n’a pas été dit. Nous sommes en face d’une violation », a-t-il fustigé.