Selon les informations rapportées par le quotidien Libération, le ministère public a adressé un supplétif au magistrat-instructeur, pour demander l’audition d’Assane Diouf par rapport à une série de vidéos incendiaires qui avaient fait sensation sur les réseaux sociaux et dans lesquelles, il tenait des propos discourtois à l'endroit de certaines personnalités du pays.
En clair, le parquet a étendu le champ de l’information judiciaire qui ne concernait jusque-là, que les propos outrageants tenus par Assane Diouf contre le porte-parole du Khalife général des mourides, Serigne Bass Abdou Khadre Mbacké. C’est dire qu'Assane Diouf est dans de beaux draps d’autant qu’au-delà des risques d’une nouvelles inculpation, il est quasi-sûr que le parquet cherche avant tout à caractériser les délits pour lesquels le mis en cause présumé a été écroué.
Ce développement intervient après l’audition dans le fond de Assane Diouf qui, face au Doyen des juges, avait assumé l’ensemble de ses propos. Par la suite, son conseil Me El Hadji Diouf, avait déposé une demande de mise en liberté provisoire rejetée par le procureur et le juge d’instruction. Ainsi, l’appel est pendant devant la Chambre d’accusation, qui avait été déjà saisie d’une demande similaire déposée avant l’interrogatoire dans le fond d'Assane Diouf.
En clair, le parquet a étendu le champ de l’information judiciaire qui ne concernait jusque-là, que les propos outrageants tenus par Assane Diouf contre le porte-parole du Khalife général des mourides, Serigne Bass Abdou Khadre Mbacké. C’est dire qu'Assane Diouf est dans de beaux draps d’autant qu’au-delà des risques d’une nouvelles inculpation, il est quasi-sûr que le parquet cherche avant tout à caractériser les délits pour lesquels le mis en cause présumé a été écroué.
Ce développement intervient après l’audition dans le fond de Assane Diouf qui, face au Doyen des juges, avait assumé l’ensemble de ses propos. Par la suite, son conseil Me El Hadji Diouf, avait déposé une demande de mise en liberté provisoire rejetée par le procureur et le juge d’instruction. Ainsi, l’appel est pendant devant la Chambre d’accusation, qui avait été déjà saisie d’une demande similaire déposée avant l’interrogatoire dans le fond d'Assane Diouf.