Elimane Diouf, Président du Conseil d’administration de la Caisse de Sécurité sociale a déclaré, mardi que 60% de l'activité économique en termes de couverture sont en dehors du système social. Pour lui, il est temps de réfléchir ensemble pour « une intégration » de cette frange importante de notre population. Ce qui pour lui va permettre à la caisse de sécurité sociale de disposer de ressources suffisantes capables de permettre la mise en place des programmes qui sont sollicités.
« Je voudrais vous demander un retour sur ce qui avait été fait sur l'enquête sur les comités d'hygiène et de sécurité sociale. Cela nous a valu beaucoup de satisfaction que la caisse ait pensé à aller dans ce sens et je crois qu'il est utile qu'un retour diligent soit fait sur l'exploitation de ces études qui sont d'une importance capitale pour l'avancée de notre pays. Je voudrais aussi rappeler lors de cette cérémonie que nous avons un fort taux d'entreprises du secteur informel qui sont en dehors de la sécurité sociale. Nous avons presque pratiquement 60% de l'activité économique en termes de couverture qui sont en dehors du système social et je crois qu'il est temps que nous essayons de réfléchir ensemble pour une intégration de cette frange importante de notre population pour qu'on puisse aussi permettre à la Caisse de Sécurité sociale de disposer de ressources suffisantes capables de permettre la mise en place des programmes qui sont sollicités », a déclaré Elimane Diouf.
Par ailleurs, poursuit le PCA M. Diouf : « Je crois aussi qu'il y avait une première phase de sécurité et de santé pour les travailleurs SST. Il y avait, si ma mémoire est bonne, une deuxième phase qui devait se faire entre 2023 et 2027. Je demande donc aux autorités et notamment à la direction générale de voir ce qui est possible, est-ce que cette phase est effectivement en cours d'exécution si ce n'est pas le cas, que l'on puisse mettre les ressources nécessaires pour aller dans ce sens. Je voudrais simplement renouveler mes remerciements, parce que quand on honore Mansour Kama, on honore certes une personne, on honore certes une personnalité, mais c'est le patronat dans son ensemble qui est honoré. C'est la nation dans son ensemble qui a honoré un digne fils, qui a su prendre ses responsabilités dans des périodes où il était difficile de le faire ».
« Je voudrais vous demander un retour sur ce qui avait été fait sur l'enquête sur les comités d'hygiène et de sécurité sociale. Cela nous a valu beaucoup de satisfaction que la caisse ait pensé à aller dans ce sens et je crois qu'il est utile qu'un retour diligent soit fait sur l'exploitation de ces études qui sont d'une importance capitale pour l'avancée de notre pays. Je voudrais aussi rappeler lors de cette cérémonie que nous avons un fort taux d'entreprises du secteur informel qui sont en dehors de la sécurité sociale. Nous avons presque pratiquement 60% de l'activité économique en termes de couverture qui sont en dehors du système social et je crois qu'il est temps que nous essayons de réfléchir ensemble pour une intégration de cette frange importante de notre population pour qu'on puisse aussi permettre à la Caisse de Sécurité sociale de disposer de ressources suffisantes capables de permettre la mise en place des programmes qui sont sollicités », a déclaré Elimane Diouf.
Par ailleurs, poursuit le PCA M. Diouf : « Je crois aussi qu'il y avait une première phase de sécurité et de santé pour les travailleurs SST. Il y avait, si ma mémoire est bonne, une deuxième phase qui devait se faire entre 2023 et 2027. Je demande donc aux autorités et notamment à la direction générale de voir ce qui est possible, est-ce que cette phase est effectivement en cours d'exécution si ce n'est pas le cas, que l'on puisse mettre les ressources nécessaires pour aller dans ce sens. Je voudrais simplement renouveler mes remerciements, parce que quand on honore Mansour Kama, on honore certes une personne, on honore certes une personnalité, mais c'est le patronat dans son ensemble qui est honoré. C'est la nation dans son ensemble qui a honoré un digne fils, qui a su prendre ses responsabilités dans des périodes où il était difficile de le faire ».
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