Les mots prononcés par Abdourahmane Ndiaye ‘’Adidas’’ ont fait mal au ministre des Sports qui a rendu à son tour les coups sans porter de gants. « Le Basket-ball sénégalais ne souffre d’aucun manque de considération. Les U18 reviennent du Mali avec un excellent résultat. On vient d’inaugurer Dakar Arena. On vient d’organiser beaucoup de compétitions internationales. Il ne faudrait pas qu’une communication maladroite fasse penser aux Sénégalais que le basket est placé quelque part où il n’y a pas la considération », déclare-t-il.
Avant de hausser le ton : «Le président de fédération est le trait d’union entre l’Etat du Sénégal et la discipline concernée. Il faut que chacun comprenne son rôle dans le dispositif. Les coachs sont gérés par les fédérations. Nous nous battons pour avoir des coachs sénégalais à la tête de nos équipes nationales. Un Sénégalais ne peut pas attaquer son Etat, sa fédération. S’il y a des difficultés, on les gère. Notre pays à des ressources limitées ».
Mieux, dit-il : « Quand les gens se battent pour élever la barre, il faudrait qu’on retourne les signaux nécessaires aux décideurs pour qu’ils continuent à persévérer. Je ne peux pas permettre ça en tant que ministre des Sports. Un président de fédération qui a des difficultés, ça ne manquera pas, mais il faut les transformer en énergie positive. C’est comme ça qu’on pourra avancer. Quand on va vers une compétition, il faut faire face à ses responsabilités. Il ne faudrait pas que des détails soient évoqués pour justifier un éventuel échec ».
Avant de hausser le ton : «Le président de fédération est le trait d’union entre l’Etat du Sénégal et la discipline concernée. Il faut que chacun comprenne son rôle dans le dispositif. Les coachs sont gérés par les fédérations. Nous nous battons pour avoir des coachs sénégalais à la tête de nos équipes nationales. Un Sénégalais ne peut pas attaquer son Etat, sa fédération. S’il y a des difficultés, on les gère. Notre pays à des ressources limitées ».
Mieux, dit-il : « Quand les gens se battent pour élever la barre, il faudrait qu’on retourne les signaux nécessaires aux décideurs pour qu’ils continuent à persévérer. Je ne peux pas permettre ça en tant que ministre des Sports. Un président de fédération qui a des difficultés, ça ne manquera pas, mais il faut les transformer en énergie positive. C’est comme ça qu’on pourra avancer. Quand on va vers une compétition, il faut faire face à ses responsabilités. Il ne faudrait pas que des détails soient évoqués pour justifier un éventuel échec ».