C’est le 14 janvier prochain que la chambre d’accusation de la Cour d’appel de Dakar va rendre son délibéré à la suite du bras de fer opposant le Doyen des juges et le parquet de Dakar dans la gestion de l’affaire dite des commissions présumées versées par Sudatel.
L’affaire a été discrètement plaidée le 31 décembre dernier. Le contentieux est né du fait que le Doyen des juges avait transmis au ministère public le dossier pour solliciter son réquisitoire définitif. En lieu et place, le maître des poursuites avait fait un supplétif pour demander la réactivation de commissions rogatoires renvoyées dans plusieurs pays comme l’Angleterre mais aussi exiger l’audition de Kéba Keindé qui n’a pas mis les pieds au Sénégal depuis l’éclatement de cette affaire. Une demande à laquelle le magistrat instructeur a opposé un refus d’autant que, pour le juge, ces deux actes demandés par le parquet ne saurait justifier un supplétif qui rimait avec une prolongation de l’instruction.
Selon « Libération », le juge du premier cabinet, à l’époque Mahwa Sémou Diouf, a rendu une ordonnance de refus de communiquer avant que le parquet ne fasse appel. En rendant son délibéré le 14 janvier prochain, la Chambre d’accusation se penchera sur un autre dossier qui oppose le premier cabinet au ministère public. Il s’agit cette fois-ci de l’affaire Ndeye Khady Guèye du nom de l’ancienne directrice générale de l’ex Fonds de promotion économique (Fpe). Le Doyen des juges lui avait accordé un non-lieu partiel avant que le parquet ne fasse appel.
L’affaire a été discrètement plaidée le 31 décembre dernier. Le contentieux est né du fait que le Doyen des juges avait transmis au ministère public le dossier pour solliciter son réquisitoire définitif. En lieu et place, le maître des poursuites avait fait un supplétif pour demander la réactivation de commissions rogatoires renvoyées dans plusieurs pays comme l’Angleterre mais aussi exiger l’audition de Kéba Keindé qui n’a pas mis les pieds au Sénégal depuis l’éclatement de cette affaire. Une demande à laquelle le magistrat instructeur a opposé un refus d’autant que, pour le juge, ces deux actes demandés par le parquet ne saurait justifier un supplétif qui rimait avec une prolongation de l’instruction.
Selon « Libération », le juge du premier cabinet, à l’époque Mahwa Sémou Diouf, a rendu une ordonnance de refus de communiquer avant que le parquet ne fasse appel. En rendant son délibéré le 14 janvier prochain, la Chambre d’accusation se penchera sur un autre dossier qui oppose le premier cabinet au ministère public. Il s’agit cette fois-ci de l’affaire Ndeye Khady Guèye du nom de l’ancienne directrice générale de l’ex Fonds de promotion économique (Fpe). Le Doyen des juges lui avait accordé un non-lieu partiel avant que le parquet ne fasse appel.