L’Union nationale des consommateurs du Sénégal indexe le gouvernement à cause du ‘’coût élevé de la vie’’. Selon Ibrahima Diamé Président de l’UNCS, ‘’l’Etat du Sénégal a failli à sa mission’’.
« Revenons un tout petit peu à la concertation sur la vie chère tenue, le 26 septembre 2022. Lors de cette concertation, le président de la République a pris des engagements: de recevoir l’association des consommateurs le 15 mars de chaque année. Malheureusement, on est resté sur notre faim. Dans la mesure où cette audience n’a pas eu lieu. Et l’autre engagement du Président, c’est le recrutement de 1000 jeunes, qui ne se sent pas trop. Bien vrai que des efforts ont été faits, mais sur le terrain, on a constaté que la baisse des denrées de premières nécessités n’est pas effective. Et puis avec ce mois de Carême, de ramadan, on a constaté un manque criard de sucre que nous dénonçons », a déclaré Ibrahima Diamé.
Au niveau de l’association des consommateurs, « il y a une mafia, un marché noir qui est entretenu par certains commerçants. Et nous au niveau de l’UNCS nous lançons un appel au chef de l’Etat pour un dialogue inclusif entre les parties de l’opposition comme de la majorité, et la société civile pour un climat apaisé. Au Sénégal, on a toutes les lois, mais malheureusement l’application de ces textes fait défaut ».
« Revenons un tout petit peu à la concertation sur la vie chère tenue, le 26 septembre 2022. Lors de cette concertation, le président de la République a pris des engagements: de recevoir l’association des consommateurs le 15 mars de chaque année. Malheureusement, on est resté sur notre faim. Dans la mesure où cette audience n’a pas eu lieu. Et l’autre engagement du Président, c’est le recrutement de 1000 jeunes, qui ne se sent pas trop. Bien vrai que des efforts ont été faits, mais sur le terrain, on a constaté que la baisse des denrées de premières nécessités n’est pas effective. Et puis avec ce mois de Carême, de ramadan, on a constaté un manque criard de sucre que nous dénonçons », a déclaré Ibrahima Diamé.
Au niveau de l’association des consommateurs, « il y a une mafia, un marché noir qui est entretenu par certains commerçants. Et nous au niveau de l’UNCS nous lançons un appel au chef de l’Etat pour un dialogue inclusif entre les parties de l’opposition comme de la majorité, et la société civile pour un climat apaisé. Au Sénégal, on a toutes les lois, mais malheureusement l’application de ces textes fait défaut ».