Le Syndicat des Professionnels de l’Information et de la Communication du Sénégal (SYNPICS) organise une marche de protestation le vendredi 31 Juillet 2015 à partir de 14 heures à partir de la place de l’Obélisque jusqu’à la poste de Médina où il va lire un Mémorandum. Cette marche de protestation traduit une certaine exaspération des journalistes et techniciens des médias devant le manque de volonté manifeste du gouvernement de Macky Sall, de voter le Code de la Presse vieux de plus de 5 ans maintenant.
Ce sera également une occasion pour dénoncer les lenteurs observées dans les négociations pour l’application de la nouvelle Convention collective des journalistes et techniciens des médias. Car depuis l’ouverture officielle des négociations par le ministère du Travail, le Patronat a choisi d’appliquer la politique de la chaise vide, pour ne pas donner une suite à ces négociations. Le SYNPICS compte saisir cette opportunité, pour également dénoncer le non-reversement des cotisations dans les caisses de la Caisse de sécurité sociale (CSS) et de l’Institut de prévoyance retraite (IPRES). Le constat, après étude, est que les dettes contractées sont colossales, alors que les prélèvements sont opérés tous les mois.
Le gouvernement est invité dans un communiqué parvenu à Pressafrik.com, «à jouer pleinement son rôle et appelle tous les journalistes et techniciens des médias, tous les camarades syndicalistes, toutes les organisations de défense des droits de l’homme et toutes les personnes qui se reconnaissent dans ce combat, pour venir participer à cette marche».
Ce sera également une occasion pour dénoncer les lenteurs observées dans les négociations pour l’application de la nouvelle Convention collective des journalistes et techniciens des médias. Car depuis l’ouverture officielle des négociations par le ministère du Travail, le Patronat a choisi d’appliquer la politique de la chaise vide, pour ne pas donner une suite à ces négociations. Le SYNPICS compte saisir cette opportunité, pour également dénoncer le non-reversement des cotisations dans les caisses de la Caisse de sécurité sociale (CSS) et de l’Institut de prévoyance retraite (IPRES). Le constat, après étude, est que les dettes contractées sont colossales, alors que les prélèvements sont opérés tous les mois.
Le gouvernement est invité dans un communiqué parvenu à Pressafrik.com, «à jouer pleinement son rôle et appelle tous les journalistes et techniciens des médias, tous les camarades syndicalistes, toutes les organisations de défense des droits de l’homme et toutes les personnes qui se reconnaissent dans ce combat, pour venir participer à cette marche».
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