Ce matin lors de l’ouverture du Forum économique, le chef de l’État a remis le cadre sur les types de relation qui doit exister en entre l’Afrique et les autres partenaires occidentaux. « Je sais que la présence de la chine en Afrique dérange certains, mais il faut qu’ils acceptent la concurrence » à faire savoir le chef de l’État Macky Sall.
Se sentant interpellé dans ce recadrage du chef de l’État du Sénégal, le ministre Français des Affaires Etrangers, Alain Juppé qui était présent à la rencontre a tenté de répondre à Macky Sall. « On n’est pas seul en Afrique et on n’a pas peur que d’autres viennent. J’ai bien noté que les Chinois travaillent 7 jours sur 7. En matière de compétitivité nous avons un grand retard à rattraper en France. Mais l’Afrique restera un partenaire privilégié de l’Afrique » répond Alain Juppé.
Il est vrai que la présence chinoise pose d’énormes difficultés aux partenaires classiques de l’Afrique comme l’Union européen. Les échanges que l’Afrique effectue avec des pays comme la Turquie et l’empire du milieu (chine) ne cessent de monter en flèche depuis une décennie. « Ce serait une erreur stratégique pour la France de prendre ses distances en Afrique. Elle a toutes ses chances. Nous sommes nombreux à aimer l’Afrique en France. Il faut aussi que la France dépasse ce complexe de France-Afrique, une dynamique qui est largement entamée. On est plus dans cette logique où la France faisait ou défaisait les gouvernements, fermait les yeux sur certaines de dérives quand elle n’y participait pas » soutient le ministre français.
Auparavant l’ancien ministre Alain Juppé fait passer son message « d’afro-optimiste convaincu » comme il se définit. « J’ai envie de vous dire trois choses en particulier. La première c’est que je crois à la Francophonie, la deuxième c’est que je crois à la France et la troisième c’est que je crois à la nécessité de resserrer le partenariat entre la France et l’Afrique. La francophonie c’est créer des liens, c’est réunir les peuples en cette période de mondialisation toujours contraignante et plein de bouleversement » lance.
Selon lui être Francophone, c’est bénéficier d’un espace commun dans toutes ses dimensions : la langue et la culture sont mais aussi l’objet de ce forum : le commerce et les échanges économique. Dans le rapport Jacques Attalis, il est établi que deux pays partageant le même outil linguistique ont tendance à partager jusqu'à 60% de leurs échanges. C’est constat qui n’a pas échappé à Alain Juppé qui dira que le 21éme siècle ne se fera pas sans l’Afrique. « Elle est devenue une nouvelle frontière car c’est la zone ou la rentabilité des investissements et des affaires est la plus élevée » informe l’ex ministre Français.
Selon lui malgré les difficultés sur l’espace francophone doit demeurer le fer de lance de la paix et du développement fait à la violence et le terrorisme. Comme on le sait, l’économie ne peut prospérer que sur le terreau de la démocratie.
Se sentant interpellé dans ce recadrage du chef de l’État du Sénégal, le ministre Français des Affaires Etrangers, Alain Juppé qui était présent à la rencontre a tenté de répondre à Macky Sall. « On n’est pas seul en Afrique et on n’a pas peur que d’autres viennent. J’ai bien noté que les Chinois travaillent 7 jours sur 7. En matière de compétitivité nous avons un grand retard à rattraper en France. Mais l’Afrique restera un partenaire privilégié de l’Afrique » répond Alain Juppé.
Il est vrai que la présence chinoise pose d’énormes difficultés aux partenaires classiques de l’Afrique comme l’Union européen. Les échanges que l’Afrique effectue avec des pays comme la Turquie et l’empire du milieu (chine) ne cessent de monter en flèche depuis une décennie. « Ce serait une erreur stratégique pour la France de prendre ses distances en Afrique. Elle a toutes ses chances. Nous sommes nombreux à aimer l’Afrique en France. Il faut aussi que la France dépasse ce complexe de France-Afrique, une dynamique qui est largement entamée. On est plus dans cette logique où la France faisait ou défaisait les gouvernements, fermait les yeux sur certaines de dérives quand elle n’y participait pas » soutient le ministre français.
Auparavant l’ancien ministre Alain Juppé fait passer son message « d’afro-optimiste convaincu » comme il se définit. « J’ai envie de vous dire trois choses en particulier. La première c’est que je crois à la Francophonie, la deuxième c’est que je crois à la France et la troisième c’est que je crois à la nécessité de resserrer le partenariat entre la France et l’Afrique. La francophonie c’est créer des liens, c’est réunir les peuples en cette période de mondialisation toujours contraignante et plein de bouleversement » lance.
Selon lui être Francophone, c’est bénéficier d’un espace commun dans toutes ses dimensions : la langue et la culture sont mais aussi l’objet de ce forum : le commerce et les échanges économique. Dans le rapport Jacques Attalis, il est établi que deux pays partageant le même outil linguistique ont tendance à partager jusqu'à 60% de leurs échanges. C’est constat qui n’a pas échappé à Alain Juppé qui dira que le 21éme siècle ne se fera pas sans l’Afrique. « Elle est devenue une nouvelle frontière car c’est la zone ou la rentabilité des investissements et des affaires est la plus élevée » informe l’ex ministre Français.
Selon lui malgré les difficultés sur l’espace francophone doit demeurer le fer de lance de la paix et du développement fait à la violence et le terrorisme. Comme on le sait, l’économie ne peut prospérer que sur le terreau de la démocratie.