Le conseil d’administration du Fmi a adopté le programme économique présenté par le Sénégal sans le moindre débat. Et lors de réunion du conseil des ministres hier, le président de la République s’est félicité de la décision dudit conseil d’administration qui a conclu favorablement le mardi 08 décembre 2015, la première revue du programme économique et financier du Sénégal, suivant la procédure du défaut d’opposition et élimination des plafonds d’endettement non concessionnels qui s’applique à notre pays. Selon le communiqué ayant sanctionné la réunion du conseil des ministres, « cette procédure est retenue lorsque la mise en œuvre du programme est jugée très satisfaisante et ne nécessite pas de délibération de la part des membres du conseil d’administration ».
Ce qui était prévisible à la suite de la mission effectuée par le Fmi au Sénégal à la suite d’un accord triennal au titre de l’Instrument de soutien à la politique économique (Ispe). Aussi, le Sénégal entend accélérer les réformes structurelles afin de promouvoir un climat des affaires plus propice, et ce faisant, encourager le développement du secteur privé. De plus, avec ce programme notre pays vise un taux de croissance économique d’au moins 5% en 2015, contre 4,7 % en 2014, et maintenant de l’inflation en dessous de 2%. Un travail soutenu destiné à réduire les dépenses publiques et à améliorer la mobilisation des recettes fiscales permettra ainsi d’accroître l’investissement et les dépenses sociales et de ramener le déficit budgétaire à 4,7%.
Ce qui était prévisible à la suite de la mission effectuée par le Fmi au Sénégal à la suite d’un accord triennal au titre de l’Instrument de soutien à la politique économique (Ispe). Aussi, le Sénégal entend accélérer les réformes structurelles afin de promouvoir un climat des affaires plus propice, et ce faisant, encourager le développement du secteur privé. De plus, avec ce programme notre pays vise un taux de croissance économique d’au moins 5% en 2015, contre 4,7 % en 2014, et maintenant de l’inflation en dessous de 2%. Un travail soutenu destiné à réduire les dépenses publiques et à améliorer la mobilisation des recettes fiscales permettra ainsi d’accroître l’investissement et les dépenses sociales et de ramener le déficit budgétaire à 4,7%.