Papa Massata Diack est à nouveau cité dans une affaire de corruption. Le fils de l’ancien président de la Fédération internationale d’athlétisme (IAAF) est accusé d’avoir promis d’obtenir des voix des membres du Comité international olympique (CIO) en faveur de la candidature coréenne de Pyeongchang aux Jeux olympiques (JO) d’hiver 2018, au détriment de Munich et d’Annecy.
Selon « Libération », Massata Diack réclamait, en contrepartie de ce soutien, 12 millions de dollars (plus de 6 milliards de francs Cfa), notamment sous forme d’un contrat de sponsoring pour la Ligue de diamant, organisée par l’IAAF.
Il réclamait également 1,5 million de dollars pour contribuer à la campagne politique de son père et la même somme pour mener des opérations de lobbying en faveur de Pyeongchang, six mois avant le vote.
Une enquête a été ouverte en Corée du Sud, concernant un lobbying secret de Samsung, notamment liée à Papa Massata Diack, pour obtenir l’organisation des Jeux.
Selon « Libération », Massata Diack réclamait, en contrepartie de ce soutien, 12 millions de dollars (plus de 6 milliards de francs Cfa), notamment sous forme d’un contrat de sponsoring pour la Ligue de diamant, organisée par l’IAAF.
Il réclamait également 1,5 million de dollars pour contribuer à la campagne politique de son père et la même somme pour mener des opérations de lobbying en faveur de Pyeongchang, six mois avant le vote.
Une enquête a été ouverte en Corée du Sud, concernant un lobbying secret de Samsung, notamment liée à Papa Massata Diack, pour obtenir l’organisation des Jeux.