« Nous lançons Octobre Cyber 21, c'est-à-dire le début des activités de sensibilisation sur la cybersécurité. A travers Cyber21, les jeunes se sont mobilisés pour venir, à nos côtés, s'engager pour sensibiliser leurs semblables, l'opinion nationale et internationale mais surtout les populations sur les risques liés à la cybersécurité. Ils sont engagés à faire une tournée nationale dans les 46 départements du pays pour sensibiliser. De nos jours, les risques liés aux dérives sur les réseaux sociaux méritent une prise de conscience et un engagement fort des pouvoirs publics, mais également de l'ensemble des acteurs de l'écosystème du numérique », a plaidé Yankhoba Diattara.
Poursuivant ses propos, le ministre a indiqué que « l'économie numérique est aujourd'hui un vecteur de croissance, de productivité et de compétitivité des entreprises et des pays. Son caractère transversal impacte tous les secteurs de l'économie, et est à l'origine de nouveaux secteurs innovants ».
« Au Sénégal, le taux de pénétration des services internet est estimé à 92,29% avec un parc de 15 418 058 abonnés Internet selon le rapport de l'Artp publié juin 2021. Par ailleurs, notre pays est classé 18ème pays africain du global cybersecurity Index 2020 de l'Union internationale des télécommunications (Uit). Cette place se justifie, entre autres, par le cadre juridique et réglementaire solide, mais à améliorer et une absence de centre national de réponse aux incidents informatique », a fait savoir Yankhoba Diattara.
Poursuivant ses propos, le ministre a indiqué que « l'économie numérique est aujourd'hui un vecteur de croissance, de productivité et de compétitivité des entreprises et des pays. Son caractère transversal impacte tous les secteurs de l'économie, et est à l'origine de nouveaux secteurs innovants ».
« Au Sénégal, le taux de pénétration des services internet est estimé à 92,29% avec un parc de 15 418 058 abonnés Internet selon le rapport de l'Artp publié juin 2021. Par ailleurs, notre pays est classé 18ème pays africain du global cybersecurity Index 2020 de l'Union internationale des télécommunications (Uit). Cette place se justifie, entre autres, par le cadre juridique et réglementaire solide, mais à améliorer et une absence de centre national de réponse aux incidents informatique », a fait savoir Yankhoba Diattara.