Créée en 1938, l’école élémentaire El Hadji Mour Diop Coumba Pathé sise à la Médina se meurt. Cette école qui date de l’époque coloniale croule sous le poids de l’âge. La vétusté de cet établissement, son état de délabrement avancé entravent considérablement sa fonctionnalité.
Les 12 salles de classe et le bloc d’hygiène qui composent cet établissement sont dans un état déplorable, pour ne pas dire lamentable. Les vitres des portes sont cassées, la peinture des murs s’écaille, les plafonds sont vieux, le bloc d’hygiène est dans un piteux état, la cour est remplie d’herbe. L’école n’est pas du tout apte à accueillir les élèves. L’enceinte de l’école a été transformée en dépotoir d’ordures.
Le directeur de l’école, Fodé Diouf, rencontré dans les lieux est d’avis que son école est encore confrontée à beaucoup de difficultés. Mais malgré tous ces problèmes, précise-t-il, l’école arrive à faire de bons résultats au Certificat de fin d’étude élémentaire (Cfee) et à l’entré en sixième. Ce, grâce au dévouement des enseignants.
Se voulant optimiste quant à la fin des travaux de nettoyage des ordures et de désinfection déjà entamés, M. Diouf affirme que : « Tout sera prêt avant la venue des élèves. Nous serons prêts pour le « Ubi tèy, jang tèy ».
Les 12 salles de classe et le bloc d’hygiène qui composent cet établissement sont dans un état déplorable, pour ne pas dire lamentable. Les vitres des portes sont cassées, la peinture des murs s’écaille, les plafonds sont vieux, le bloc d’hygiène est dans un piteux état, la cour est remplie d’herbe. L’école n’est pas du tout apte à accueillir les élèves. L’enceinte de l’école a été transformée en dépotoir d’ordures.
Le directeur de l’école, Fodé Diouf, rencontré dans les lieux est d’avis que son école est encore confrontée à beaucoup de difficultés. Mais malgré tous ces problèmes, précise-t-il, l’école arrive à faire de bons résultats au Certificat de fin d’étude élémentaire (Cfee) et à l’entré en sixième. Ce, grâce au dévouement des enseignants.
Se voulant optimiste quant à la fin des travaux de nettoyage des ordures et de désinfection déjà entamés, M. Diouf affirme que : « Tout sera prêt avant la venue des élèves. Nous serons prêts pour le « Ubi tèy, jang tèy ».