La star du cinéma Halima Gadji a quitté le Sénégal pour la capitale ivoirienne ou elle y vit depuis le mois le décembre. Halima a décidé de rompre sa collaboration avec « Marodi » et mettre un trait « Marième Dial », personnage qu’elle incarne dans la célèbre série « Maitresse d’un homme marié ».
« J’ai moins de stress ici… J’ai quitté le Sénégal par dépit »
En dehors de ces activités professionnelles, l’actrice vit une vie calme et paisible en Cote d’Ivoire. « Dans la rue, les ivoiriens me prennent dans leur bras et immortalisent nos rencontres. J’ai moins de stress ici » confie-t-elle au bout du fil au journal « L’Observateur ».
Devenue une citoyenne ivoirienne très proche des artistes ivoiriens, l’actrice profite pleinement des weekends pour découvrir la Cote d’Ivoire. Halima s’est également donnée à d’autres activités extra professionnelles tels que les cours de danse, de théâtre, de chant et de boxe.
« Je n’ai pas de regret d’être partie. Je n’ai pas quitté le Sénégal ou j’ai ma famille et toutes mes attaches, parce que j’en avais envie mais par dépit. Ma carrière a décollé au Sénégal certes mais, le sérieux n’y était pas, encore moins l’encadrement » confie-t-elle. Toutefois, Halima regrette d’avoir insulté et demande pardon aux sénégalais.
Sa nouvelle vie
Un peu loin de son Sénégal, l’actrice commence une nouvelle vie à Abidjan. Halima a conclu un contrat avec la production « Anzul » établi en Coté d’Ivoire et en Afrique Sud. Un contrat qui fait d’elle une actrice et une consultante en même temps.
Au terme de ce contrat, elle peut exercer comme actrice ou consultante. Elle a donc le choix d’être devant la caméra ou derrière la caméra. Elle peut également bénéficier des formations dans la réalisation cinématographique, dans la production, la gestion de casting. Des formations qui lui permettront de développer d’autres potentiels enfouis en lui.
En termes de réalisation, la « nouvelle Halima » a mis en branle une série documentaire nommé « My Truth », qui signifie « ma vérité » en français. Dans ce documentaire, l’actrice parle de sa vie, des événements qu’elle a vécus et qui lui ont poussé à commettre l’irréparable. Elle dénonce dans cette série documentaire les maux de la société, les violences à l’école, le harcèlement dont sont victimes les enfants vivant avec un handicap comme le bégaiement, la dyslexie.
« J’ai moins de stress ici… J’ai quitté le Sénégal par dépit »
En dehors de ces activités professionnelles, l’actrice vit une vie calme et paisible en Cote d’Ivoire. « Dans la rue, les ivoiriens me prennent dans leur bras et immortalisent nos rencontres. J’ai moins de stress ici » confie-t-elle au bout du fil au journal « L’Observateur ».
Devenue une citoyenne ivoirienne très proche des artistes ivoiriens, l’actrice profite pleinement des weekends pour découvrir la Cote d’Ivoire. Halima s’est également donnée à d’autres activités extra professionnelles tels que les cours de danse, de théâtre, de chant et de boxe.
« Je n’ai pas de regret d’être partie. Je n’ai pas quitté le Sénégal ou j’ai ma famille et toutes mes attaches, parce que j’en avais envie mais par dépit. Ma carrière a décollé au Sénégal certes mais, le sérieux n’y était pas, encore moins l’encadrement » confie-t-elle. Toutefois, Halima regrette d’avoir insulté et demande pardon aux sénégalais.
Sa nouvelle vie
Un peu loin de son Sénégal, l’actrice commence une nouvelle vie à Abidjan. Halima a conclu un contrat avec la production « Anzul » établi en Coté d’Ivoire et en Afrique Sud. Un contrat qui fait d’elle une actrice et une consultante en même temps.
Au terme de ce contrat, elle peut exercer comme actrice ou consultante. Elle a donc le choix d’être devant la caméra ou derrière la caméra. Elle peut également bénéficier des formations dans la réalisation cinématographique, dans la production, la gestion de casting. Des formations qui lui permettront de développer d’autres potentiels enfouis en lui.
En termes de réalisation, la « nouvelle Halima » a mis en branle une série documentaire nommé « My Truth », qui signifie « ma vérité » en français. Dans ce documentaire, l’actrice parle de sa vie, des événements qu’elle a vécus et qui lui ont poussé à commettre l’irréparable. Elle dénonce dans cette série documentaire les maux de la société, les violences à l’école, le harcèlement dont sont victimes les enfants vivant avec un handicap comme le bégaiement, la dyslexie.
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