Le leader de AGIR (alliance générationnelle pour les intérêts de la République) Thierno Bocoum était devant le Grand Jury, émission hebdomadaire de la Rfm. Il est revenu sur l'actualité en ce qui concerne le regain de l'immigration clandestine avec son lot de victimes, mais aussi les dernières nominations du Président qui continuent de faire débat.
D'emblée, Thierno Bocoum pense qu'il, « faut trouver des solutions à cette problématique" qu'est l'émigration clandestine ou irrégulière. Il pense qu'il y a beaucoup de causes qui peuvent être annoncées, mais la cause économique semble la principale notamment "le faible pouvoir d'achat dans les ménages sénégalais". Le leader explique cette volonté des jeunes de quitter le pays par le désespoir :"Il y a clairement un manque d'espoir, car si on a de l'espoir pour son pays, on ne le quitte pas de cette manière". C'est la raison pour laquelle les jeunes "n'ont jusqu'à présent pas renoncé à l'émigration », ajoute-t-il.
Thierno Bocoum s'est aussi exprimé sur sa posture de militer dans l'opposition du nouveau pouvoir, lui qui avait partagé des combats avec les tenants actuels du pouvoir face au régime de Macky. Selon Thierno", nous avons décidé d'être des sentinelles" parce que " nous sommes pour la rupture et c'est ce qui a expliqué notre opposition à Macy Sall dans la manière de gérer l'État" a-t-il expliqué. Aujourd'hui, renchérit-il, les Sénégalais ont fait confiance à une équipe qui parle de rupture ", c'est pourquoi " nous avons considéré que, sur pas mal de choses, il s'agit d'aller vers la rupture".
À une condition, "nous nous sommes dits clairement qu'il faudra qu'on aille véritablement à des ruptures et qu'ils (pouvoir actuel) répondent aux promesses". Le constat depuis lors est que "il y a eu énormément de dérives, de questions qui ont été mal réglées, des déclarations malheureuses". Donc, c'est le moment pour Thierno "d'alerter très tôt " de dire à " ceux qui gèrent ce pays actuellement qu'attention, il y a des choses qu'il ne faut pas faire" qu'il faut" respecter l'Etat de droit, les institutions, mesurer la charge de la mission" et "travailler exclusivement pour les intérêts des populations". C'est la raison de nos sorties médiatiques.
Ce qui a trait aux dernières nominations du Président lors du dernier Conseil des ministres le leader de l'Alliance générationnelle pour les intérêts de la République part d'un " partage du gâteau ". De l'avis de Thierno Bocoum certains ont mis de côté la promesse des appels à candidature parce que "non légiférer". Ce qu'il trouve faux. De son point de vue " on n'a pas besoin de légiférer pour faire appel à candidature ". Ce qui reste à faire, c'est l'union pour affronter le régime. C'est pourquoi, il lance un appel à l'unité de l'opposition face aux autorités du nouveau régime. Pour lui" tous ceux qui disent, nous nous opposons au régime, je pense que c'est le moment de se retrouver, de s'organiser pour les prochaines élections si on considère qu'on doit y aller ensemble ". Il se dit prêt à assurer son rôle.
D'emblée, Thierno Bocoum pense qu'il, « faut trouver des solutions à cette problématique" qu'est l'émigration clandestine ou irrégulière. Il pense qu'il y a beaucoup de causes qui peuvent être annoncées, mais la cause économique semble la principale notamment "le faible pouvoir d'achat dans les ménages sénégalais". Le leader explique cette volonté des jeunes de quitter le pays par le désespoir :"Il y a clairement un manque d'espoir, car si on a de l'espoir pour son pays, on ne le quitte pas de cette manière". C'est la raison pour laquelle les jeunes "n'ont jusqu'à présent pas renoncé à l'émigration », ajoute-t-il.
Thierno Bocoum s'est aussi exprimé sur sa posture de militer dans l'opposition du nouveau pouvoir, lui qui avait partagé des combats avec les tenants actuels du pouvoir face au régime de Macky. Selon Thierno", nous avons décidé d'être des sentinelles" parce que " nous sommes pour la rupture et c'est ce qui a expliqué notre opposition à Macy Sall dans la manière de gérer l'État" a-t-il expliqué. Aujourd'hui, renchérit-il, les Sénégalais ont fait confiance à une équipe qui parle de rupture ", c'est pourquoi " nous avons considéré que, sur pas mal de choses, il s'agit d'aller vers la rupture".
À une condition, "nous nous sommes dits clairement qu'il faudra qu'on aille véritablement à des ruptures et qu'ils (pouvoir actuel) répondent aux promesses". Le constat depuis lors est que "il y a eu énormément de dérives, de questions qui ont été mal réglées, des déclarations malheureuses". Donc, c'est le moment pour Thierno "d'alerter très tôt " de dire à " ceux qui gèrent ce pays actuellement qu'attention, il y a des choses qu'il ne faut pas faire" qu'il faut" respecter l'Etat de droit, les institutions, mesurer la charge de la mission" et "travailler exclusivement pour les intérêts des populations". C'est la raison de nos sorties médiatiques.
Ce qui a trait aux dernières nominations du Président lors du dernier Conseil des ministres le leader de l'Alliance générationnelle pour les intérêts de la République part d'un " partage du gâteau ". De l'avis de Thierno Bocoum certains ont mis de côté la promesse des appels à candidature parce que "non légiférer". Ce qu'il trouve faux. De son point de vue " on n'a pas besoin de légiférer pour faire appel à candidature ". Ce qui reste à faire, c'est l'union pour affronter le régime. C'est pourquoi, il lance un appel à l'unité de l'opposition face aux autorités du nouveau régime. Pour lui" tous ceux qui disent, nous nous opposons au régime, je pense que c'est le moment de se retrouver, de s'organiser pour les prochaines élections si on considère qu'on doit y aller ensemble ". Il se dit prêt à assurer son rôle.