Seize (16) candidats à l’élection présidentielle ont décliné l'invitation de Macky Sall. Ils se sont donnés rendez-vous au Conseil constitutionnel pour y déposer, individuellement, des recours qui portent sur trois points. Il s’agit de la contestation de la non-fixation d’une date pour l’élection présidentielle par le chef de l’État, constater que tous les retards mis à exécuter ces décisions, résultent non pas de circonstances graves, mais de la seule volonté du Président Macky Sall.
« Vous allez constater que nous ne sommes pas à Diamniadio, mais au Conseil constitutionnel. Donc le débat sur la participation au dialogue est définitivement réglé. Nous sommes venus déposer chacun en ce qui le concerne une requête pour constater la carence du président la République de prendre les mesures qui s’imposent pour convoquer l’élection présidentielle dans les meilleurs délais requis. Cette carence va entrainer notre pays dans une situation relativement grave. Puisqu’elle pourrait non seulement nous amener à une situation ou le 2 avril, un président élu n’est pas encore installé, mais on ne sait même pas jusqu’où compte tenu le dialogue qu’il a ouvert, on pourrait aller », a déclaré Thierno Alassane Sall porte-parole du jour des candidats.
Par ailleurs précise Thierno Alassane Sall, candidat à l'élection présidentielle de 2024 : « C’est pourquoi le Conseil constitutionnel qui a déjà dit, dans son avis 1/C/2024 du 15 février que la Constitution actuelle s’applique dans sa plénitude, doit constater cette carence là et le risque quelle fait courir au pays et a prendre les dispositions nécessaires. Premièrement de constater que le 2 avril Monsieur Macky Sall ne sera plus Président de la République et anticiper sur la situation qui pourrez en résulter. Deuxièmement, faire prendre à M. Macky Sall les dispositions utiles pour qu’immédiatement l’élection Présidentielle puisse se tenir. Et troisièmement, constater que tous les retards mis à exécuter ces décisions, résulte non pas de circonstance grave, mais de la seulevolonté du Président Macky Sall et d’en tirer toutes les conséquences nécessaire ».
« Vous allez constater que nous ne sommes pas à Diamniadio, mais au Conseil constitutionnel. Donc le débat sur la participation au dialogue est définitivement réglé. Nous sommes venus déposer chacun en ce qui le concerne une requête pour constater la carence du président la République de prendre les mesures qui s’imposent pour convoquer l’élection présidentielle dans les meilleurs délais requis. Cette carence va entrainer notre pays dans une situation relativement grave. Puisqu’elle pourrait non seulement nous amener à une situation ou le 2 avril, un président élu n’est pas encore installé, mais on ne sait même pas jusqu’où compte tenu le dialogue qu’il a ouvert, on pourrait aller », a déclaré Thierno Alassane Sall porte-parole du jour des candidats.
Par ailleurs précise Thierno Alassane Sall, candidat à l'élection présidentielle de 2024 : « C’est pourquoi le Conseil constitutionnel qui a déjà dit, dans son avis 1/C/2024 du 15 février que la Constitution actuelle s’applique dans sa plénitude, doit constater cette carence là et le risque quelle fait courir au pays et a prendre les dispositions nécessaires. Premièrement de constater que le 2 avril Monsieur Macky Sall ne sera plus Président de la République et anticiper sur la situation qui pourrez en résulter. Deuxièmement, faire prendre à M. Macky Sall les dispositions utiles pour qu’immédiatement l’élection Présidentielle puisse se tenir. Et troisièmement, constater que tous les retards mis à exécuter ces décisions, résulte non pas de circonstance grave, mais de la seulevolonté du Président Macky Sall et d’en tirer toutes les conséquences nécessaire ».
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