L’épouse d’Ababacar Diagne, Sokhna Kane, vit toujours dans la maison conjugale avec ses enfants, entretenue par sa belle-mère. Elle déclare que, ses enfants vivent dans la dèche, sans l’aide de personne, hormis leur grand-mère. «Mes parents n’ont pas les moyens de s’occuper de mes enfants et c’est pour cette raison que je vis toujours dans la maison, avec mes enfants qui vont à l’école avec des moyens limités. Malades, on n’a pas de quoi acheter des médicaments et ils se contentent de cachets de paracétamol», a-t-elle déploré.
Poursuivant dans la même lancée, elle exige de la diligence sur le dossier pour être édifier sur les tenants et les aboutissants, permettre à ses enfants de bénéficier civilement des dommages et intérêts et voir enfin, condamnés les meurtriers de leur père. « Je fais appel, en tant que citoyen, à Macky Sall, pour donner des instructions pour la diligence du procès. Et si l’affaire est politisée, ils n’ont qu’à nous le dire et nous saurons quelle attitude adopter», martèle-t-elle dans "l'Observateur".
Pour la maman du défunt, Ndèye Khady Sall, c’est déjà dur de perdre un fils. «C’est comme si le monde s’écrouler sur nous, nous laissant dans la plus grande solitude et sans soutien », souligne la maman.
Déférés au parquet et placés sous mandat de dépôt, suite au double meurtre survenu le 22 avril 2012, seuls Cheikh Béthio Thioune et que quelques-uns de ses "talibés" (disciples) bénéficieront de liberté provisoire. Depuis quatre (4) ans, la famille d’Ababacar Diagne, attend impatiemment que la justice fasse son travail.
Poursuivant dans la même lancée, elle exige de la diligence sur le dossier pour être édifier sur les tenants et les aboutissants, permettre à ses enfants de bénéficier civilement des dommages et intérêts et voir enfin, condamnés les meurtriers de leur père. « Je fais appel, en tant que citoyen, à Macky Sall, pour donner des instructions pour la diligence du procès. Et si l’affaire est politisée, ils n’ont qu’à nous le dire et nous saurons quelle attitude adopter», martèle-t-elle dans "l'Observateur".
Pour la maman du défunt, Ndèye Khady Sall, c’est déjà dur de perdre un fils. «C’est comme si le monde s’écrouler sur nous, nous laissant dans la plus grande solitude et sans soutien », souligne la maman.
Déférés au parquet et placés sous mandat de dépôt, suite au double meurtre survenu le 22 avril 2012, seuls Cheikh Béthio Thioune et que quelques-uns de ses "talibés" (disciples) bénéficieront de liberté provisoire. Depuis quatre (4) ans, la famille d’Ababacar Diagne, attend impatiemment que la justice fasse son travail.