Le Collectif des étudiants en sciences infirmières et obstétricales sort de leur mutisme pour exiger l’application du système LMD dans leur école. Cheikh Tidiane Ndao et ses camarades mettent en gardent les autorités et menacent de boycotter les examens à défaut d’une réaction urgente de la part de ces dernières.
« Notre objet de rassemblement aujourd’hui, d’abord, nous avons créé un collectif dans un contexte bien particulier. Ça, c’est un document de la convention de la Communauté économique des États de l'Afrique de l'Ouest (CEDEAO) signé en 2010. La convention signée par les membres de la CEDEAO, adopte l’application du système LMD, et mise en place un système de curriculum de formation harmonisé des infirmiers et sage femme dans l’espace CEDEAO. Ce curriculum de formation est appliqué dans tous les pays membre de la CEDEAO sauf le Sénégal dont les autorités refusent l’application du Système LMD. Ce qui est anormal », dénonce Cheikh Tidiane Ndao, Président dudit Collectif.
Les infirmiers et sages-femmes se disent être engagés et déterminés pour faire face à « ces injustices ». Car, disent-ils, « Nous ne pouvons pas concevoir qu’au moment de la pandémie, avec cette deuxième vague, et la recrudescence de certaines maladie comme la fièvre jaune, nous sommes les plus sollicités dans les hôpitaux. Nous voulons l’application du système LMD. Nous sommes engagés pour cela », livre Walf radio.
« Notre objet de rassemblement aujourd’hui, d’abord, nous avons créé un collectif dans un contexte bien particulier. Ça, c’est un document de la convention de la Communauté économique des États de l'Afrique de l'Ouest (CEDEAO) signé en 2010. La convention signée par les membres de la CEDEAO, adopte l’application du système LMD, et mise en place un système de curriculum de formation harmonisé des infirmiers et sage femme dans l’espace CEDEAO. Ce curriculum de formation est appliqué dans tous les pays membre de la CEDEAO sauf le Sénégal dont les autorités refusent l’application du Système LMD. Ce qui est anormal », dénonce Cheikh Tidiane Ndao, Président dudit Collectif.
Les infirmiers et sages-femmes se disent être engagés et déterminés pour faire face à « ces injustices ». Car, disent-ils, « Nous ne pouvons pas concevoir qu’au moment de la pandémie, avec cette deuxième vague, et la recrudescence de certaines maladie comme la fièvre jaune, nous sommes les plus sollicités dans les hôpitaux. Nous voulons l’application du système LMD. Nous sommes engagés pour cela », livre Walf radio.