Dans le cadre de leur troisième plan d'actions, le Saems et le Cusems ont décrété deux jours de débrayage qui se sont déroulés hier (mardi) et aujourd'hui (mercredi). Et dès demain, jeudi 06 janvier, les deux syndicats vont paralyser l'enseignement dans le moyen secondaire en observant une grève générale sur l'étendue du territoire national.
À travers ces actions musclées, les enseignants veulent pousser le gouvernement à respecter le protocole d'accord de 2018. En outre, les deux syndicats réclament également l'équité du système de rémunération des fonctionnaires du public. Décidés à obtenir gain de cause, le secrétaire général du Saems, Saourou Sène et Abdoulaye Ndoye du Cusems ne comptent pas desserrer l'étau autour du gouvernement. Car en plus de la grève, les syndicalistes prévoient d'organiser « grande marche » à Thiès dans la semaine du 10 au 15 janvier prochains.
Selon. Abdoulaye Ndoye, il sera également procédé au « boycott des évaluations, des activités sportives et des cellules pédagogiques ». Entre autres revendications, figure en bonne place l'équité dans le système de rémunération des fonctionnaires du public.
La question du corps des administrateurs scolaires, notamment les proviseurs, censeurs et principaux est aussi soulevée par les syndicalistes qui réclament au gouvernement la formation et l'indemnisation de ces gestionnaires.
Pour Saourou Sène, «le gouvernement doit revoir le régime d'indemnisation des enseignants, comparé au régime indemnitaire des magistrats qui est à 800.000 F CFA contre 79.000 voire 80.000 F CFA pour l’enseignant, livre « L’As ».
À travers ces actions musclées, les enseignants veulent pousser le gouvernement à respecter le protocole d'accord de 2018. En outre, les deux syndicats réclament également l'équité du système de rémunération des fonctionnaires du public. Décidés à obtenir gain de cause, le secrétaire général du Saems, Saourou Sène et Abdoulaye Ndoye du Cusems ne comptent pas desserrer l'étau autour du gouvernement. Car en plus de la grève, les syndicalistes prévoient d'organiser « grande marche » à Thiès dans la semaine du 10 au 15 janvier prochains.
Selon. Abdoulaye Ndoye, il sera également procédé au « boycott des évaluations, des activités sportives et des cellules pédagogiques ». Entre autres revendications, figure en bonne place l'équité dans le système de rémunération des fonctionnaires du public.
La question du corps des administrateurs scolaires, notamment les proviseurs, censeurs et principaux est aussi soulevée par les syndicalistes qui réclament au gouvernement la formation et l'indemnisation de ces gestionnaires.
Pour Saourou Sène, «le gouvernement doit revoir le régime d'indemnisation des enseignants, comparé au régime indemnitaire des magistrats qui est à 800.000 F CFA contre 79.000 voire 80.000 F CFA pour l’enseignant, livre « L’As ».