Les Groupements Economiques du Sénégal et deux de ses organisations affiliées à savoir la Coordination des Professionnels des Transports Routiers du Sénégal (CPTRS ) et le Collectif des Acteurs des Transports routiers du Sénégal sont sortis de leur mutisme pour alerter sur l'impact des sanctions de la CEDEAO contre le Mali sur les activités économiques au Sénégal.
En conférence de presse, ce mercredi à Dakar, ils ont déclaré que plus de 1348 camions chargés sont en souffrance dans la frontière. Au regard du volume important de camions immobilisés aux bureaux frontaliers et des risques sécuritaire et sanitaire, ces groupements invitent les dirigeants à trouver les voies et moyens pour le dénouement de cette situation sous l’angle humanitaire.
« Aujourd’hui, je dois affirmer que nous n’avons l’intention de juger aucune des deux parties. Je pense qu’aussi bien les Présidents qui ont pris cette décision que le Président de la transition malienne, leur objectif, c’est de travailler et de nous offrir un mieux-vivre et un cadre pouvant permettre aux opérateurs économiques dans l’espace CEDEAO de pouvoir travailler en toute harmonie. Aujourd’hui, 1348 camions ont été bloqués. C’est plus de 3 000 personnes quelque part dans la brousse dans des conditions de précarité. Ils vivent dans un dénouement total. Ils sont dans la rue. Les chauffeurs commencent à vendre le gasoil pour pouvoir vivre. J’appelle à l’intelligence de nos autorités. Cette décision politique ne doit pas venir parachever le travail de Covid19 », interpelle Momar Sourang Coordonnateur du collectif des acteurs de la CPTRS.
Il invite nos dirigeants à aller sous l’arbre à palabre discuter pour trouver une solution. « En Afrique, nous avons une recette. Il faut qu’ils aillent sous l’arbre à palabre, discuter pour trouver une solution. Ce qu’ils font n’a pas un impact dans leur chair, mais a un impact sur nous et dans le cadre de notre entreprise. Aujourd’hui si on perd ce frère malien qui représente 4 millions de tonnes par an, ou est-ce qu’on va… Je voudrais demander au Président Macky Sall de trouver des solutions avec ses paires », note Momar Sourang.
En conférence de presse, ce mercredi à Dakar, ils ont déclaré que plus de 1348 camions chargés sont en souffrance dans la frontière. Au regard du volume important de camions immobilisés aux bureaux frontaliers et des risques sécuritaire et sanitaire, ces groupements invitent les dirigeants à trouver les voies et moyens pour le dénouement de cette situation sous l’angle humanitaire.
« Aujourd’hui, je dois affirmer que nous n’avons l’intention de juger aucune des deux parties. Je pense qu’aussi bien les Présidents qui ont pris cette décision que le Président de la transition malienne, leur objectif, c’est de travailler et de nous offrir un mieux-vivre et un cadre pouvant permettre aux opérateurs économiques dans l’espace CEDEAO de pouvoir travailler en toute harmonie. Aujourd’hui, 1348 camions ont été bloqués. C’est plus de 3 000 personnes quelque part dans la brousse dans des conditions de précarité. Ils vivent dans un dénouement total. Ils sont dans la rue. Les chauffeurs commencent à vendre le gasoil pour pouvoir vivre. J’appelle à l’intelligence de nos autorités. Cette décision politique ne doit pas venir parachever le travail de Covid19 », interpelle Momar Sourang Coordonnateur du collectif des acteurs de la CPTRS.
Il invite nos dirigeants à aller sous l’arbre à palabre discuter pour trouver une solution. « En Afrique, nous avons une recette. Il faut qu’ils aillent sous l’arbre à palabre, discuter pour trouver une solution. Ce qu’ils font n’a pas un impact dans leur chair, mais a un impact sur nous et dans le cadre de notre entreprise. Aujourd’hui si on perd ce frère malien qui représente 4 millions de tonnes par an, ou est-ce qu’on va… Je voudrais demander au Président Macky Sall de trouver des solutions avec ses paires », note Momar Sourang.