La probable augmentation du tarif de l’eau ne laisse pas indifférent les sénégalais. Le plus étrange, c’est que certains semblent d’accord car estimant que l’Etat du Sénégal pris à la gorge par les bailleurs de fonds, n’a pas trop le choix. « C’est pour le bien de tout le monde », sert-on.
Mais en face, les complaintes ne manquent pas. Certains jugent ladite hausse pas du tout opportune. En effet, le tarif de l’eau n’a pas connu une hausse depuis 2003, mais au mois de janvier cette situation risque de changer, livrait « l’As » hier. Ainsi, la facture des consommateurs sera élevée entre 4 et 9%, une hausse que certains consommateurs trouvent inacceptable. Pour l’heure, les discussions sont âpres entre les autorités du secteur en question et les bailleurs de fonds. A Pressafrik.com, les citoyens affichent leurs divergences de points de vue sur la question. Selon Awa Sarr, une mère de famille, l’instant est mal choisi pour une augmentation.
Pis, « les sénégalais ont assez souffert », soutient-elle. Elle ne veut même pas entendre parler des raisons car décrète la mère de famille : «L’Etat ne devrait pas penser à une augmentation des charges, ceci, quel que soit les raisons ». Même son de cloche chez cette commerçante qui, la cinquantaine, trouve cette hausse tout simplement « inopportune ». Dans la mesure où précise-t-elle, « le Chef de l’Etat doit trouver une solution avec les bailleurs sans léser les consommateurs ».
Ce à quoi n’adhère pas d’autres Sénégalais à l’instar de ce père de famille, Amadou SY selon qui : «C’est pour la bonne cause ». Habitant aux Parcelles Assainies (PA), ce dernier estime que les sénégalais doivent être beaucoup plus compréhensifs avec le chef de l’Etat et lui donné le temps de redresser le pays. Pour lui, si les bailleurs exigent une augmentation, l’Etat ne peut faire autrement que de le respecter. C’est mieux que d’avoir des problèmes de coupure d’eau. Comme pour confirmer Aïcha, une étudiante soutient que certains sénégalais ne comprennent pas trop les raisons de la hausse.
C’est pourquoi, ils sont réfractaires. Pour elle, il faudra bien expliquer les enjeux pour les convaincre. Il faut noter que les bailleurs de fonds BIE, AFD, UE et BOAD, exigent cette révision des tarifs pour pouvoir décaisser 250 milliards dans le secteur de l’hydraulique urbain et l’assainissement. Ainsi, si l’Etat ne respecte pas cette hausse la SONES va connaitre un déséquilibre financier.
Mais en face, les complaintes ne manquent pas. Certains jugent ladite hausse pas du tout opportune. En effet, le tarif de l’eau n’a pas connu une hausse depuis 2003, mais au mois de janvier cette situation risque de changer, livrait « l’As » hier. Ainsi, la facture des consommateurs sera élevée entre 4 et 9%, une hausse que certains consommateurs trouvent inacceptable. Pour l’heure, les discussions sont âpres entre les autorités du secteur en question et les bailleurs de fonds. A Pressafrik.com, les citoyens affichent leurs divergences de points de vue sur la question. Selon Awa Sarr, une mère de famille, l’instant est mal choisi pour une augmentation.
Pis, « les sénégalais ont assez souffert », soutient-elle. Elle ne veut même pas entendre parler des raisons car décrète la mère de famille : «L’Etat ne devrait pas penser à une augmentation des charges, ceci, quel que soit les raisons ». Même son de cloche chez cette commerçante qui, la cinquantaine, trouve cette hausse tout simplement « inopportune ». Dans la mesure où précise-t-elle, « le Chef de l’Etat doit trouver une solution avec les bailleurs sans léser les consommateurs ».
Ce à quoi n’adhère pas d’autres Sénégalais à l’instar de ce père de famille, Amadou SY selon qui : «C’est pour la bonne cause ». Habitant aux Parcelles Assainies (PA), ce dernier estime que les sénégalais doivent être beaucoup plus compréhensifs avec le chef de l’Etat et lui donné le temps de redresser le pays. Pour lui, si les bailleurs exigent une augmentation, l’Etat ne peut faire autrement que de le respecter. C’est mieux que d’avoir des problèmes de coupure d’eau. Comme pour confirmer Aïcha, une étudiante soutient que certains sénégalais ne comprennent pas trop les raisons de la hausse.
C’est pourquoi, ils sont réfractaires. Pour elle, il faudra bien expliquer les enjeux pour les convaincre. Il faut noter que les bailleurs de fonds BIE, AFD, UE et BOAD, exigent cette révision des tarifs pour pouvoir décaisser 250 milliards dans le secteur de l’hydraulique urbain et l’assainissement. Ainsi, si l’Etat ne respecte pas cette hausse la SONES va connaitre un déséquilibre financier.
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