La gestion de la frontière commune, le grand banditisme, le vol de bétail et les problèmes fonciers sont, entre autres, les points inscrits à l’ordre du jour de l’atelier de réflexion entre autorités sénégalaises et bissau-guinéennes autour du thème : « sécurité et développement le long de la frontière commune. »
Le chef d'état-major sénégalais, le général Cheick Wade était lui aussi à Bissau pour peaufiner la stratégie visant déloger de leurs bases les indépendantistes du MFDC. Une frontière de 338 km le long de laquelle s’est installée depuis bientôt quarante ans une rébellion.
« Toutes les questions transfrontalières ont été abordées. Les deux armées sont en parfaite entente et en parfaite harmonie», a indiqué le général Wade qui est reparti de Bissau rassuré rapporte la RFI.
En février dernier, l’armée sénégalaise avait entrepris des opérations visant à déloger le mouvement indépendantiste de ses bases près de la frontière bissau-guinéenne. Après la chute de Sikoun en février le ratissage semble imminent vers l’ouest en direction de Cassolol la principale base du front sud. Avant de déclencher une telle opération, le voisin du sud doit être dans le bain.
Le chef d'état-major sénégalais, le général Cheick Wade était lui aussi à Bissau pour peaufiner la stratégie visant déloger de leurs bases les indépendantistes du MFDC. Une frontière de 338 km le long de laquelle s’est installée depuis bientôt quarante ans une rébellion.
« Toutes les questions transfrontalières ont été abordées. Les deux armées sont en parfaite entente et en parfaite harmonie», a indiqué le général Wade qui est reparti de Bissau rassuré rapporte la RFI.
En février dernier, l’armée sénégalaise avait entrepris des opérations visant à déloger le mouvement indépendantiste de ses bases près de la frontière bissau-guinéenne. Après la chute de Sikoun en février le ratissage semble imminent vers l’ouest en direction de Cassolol la principale base du front sud. Avant de déclencher une telle opération, le voisin du sud doit être dans le bain.