Les travailleurs de l’usine Suneor de Diourbel ont décidé de suivre le mot d’ordre de grève de 72 heures décrété par le syndicat national des travailleurs des corps gras. Pendant ces trois jours, aucune activité ne va être effectuée par les travailleurs de l’usine de la capitale du Baol.
En conférence de presse dans les locaux de la boite, ils ont dénoncé les « manœuvres délictuelles » du repreneur de l’entreprise, Abass Jaber, qui est passible de peine de prison, selon leur délégué syndical. « A l’époque, nous étions d’accord pour une privatisation de la Sonacos devenu Suneor. Mais nous vivons aujourd’hui un calvaire que nous n’avions jamais connu dans le passé. Les prestataires de service ne sont plus payés et les journaliers sont restés sans salaire pendant plus de six mois… ».
Thié Mbaye Ndiaye avertit : « nous n’allons jamais accepter la balkanisation de la Suneor et nous sommes prêts à nous battre jusqu’à notre dernier souffle de vie. Aujourd’hui Abass Jaber n’est plus un interlocuteur crédible et c’est pour quoi nous interpelons l’Etat à nouveau. L’Etat est complice d’Abass Jaber…».
En conférence de presse dans les locaux de la boite, ils ont dénoncé les « manœuvres délictuelles » du repreneur de l’entreprise, Abass Jaber, qui est passible de peine de prison, selon leur délégué syndical. « A l’époque, nous étions d’accord pour une privatisation de la Sonacos devenu Suneor. Mais nous vivons aujourd’hui un calvaire que nous n’avions jamais connu dans le passé. Les prestataires de service ne sont plus payés et les journaliers sont restés sans salaire pendant plus de six mois… ».
Thié Mbaye Ndiaye avertit : « nous n’allons jamais accepter la balkanisation de la Suneor et nous sommes prêts à nous battre jusqu’à notre dernier souffle de vie. Aujourd’hui Abass Jaber n’est plus un interlocuteur crédible et c’est pour quoi nous interpelons l’Etat à nouveau. L’Etat est complice d’Abass Jaber…».