Réunie en session extraordinaire, le mercredi 15 juillet 2020, à la Bourse du travail, la Conférence des Secrétaires généraux de l’UNSAS a examiné la situation de tension sociale qui prévaut dans le secteur de la justice. Partir d’un constat, la Conférence soutient que depuis le 06 février 2020, date de dépôt de son préavis de grève, le Syndicat des Travailleurs de la Justice (SYTJUST) fait l’objet d’une indifférence incompréhensible de la part du Garde des Sceaux, ministre de la Justice.
C’est pourquoi, la conférence des Secrétaires généraux reste indignée par le silence des autorités étatiques face à une demande devenue récurrente en milieu syndical : le respect des accords paraphés par le Gouvernement et cette fois-ci, actés par des décrets dûment signés par le président de la République. Elle invite le ministre de la Justice à rétablir le fil du dialogue avec le SYTJUST et surtout à ne pas verser dans la menace d’une sanction injustifiée contre le Secrétaire général du SYTJUST qui, selon la conférence, « a le droit et le devoir de défendre les intérêts matériels et moraux de ses mandants. La sanction gratuite ne saurait être une réponse à une simple demande de dialogue et de concertation pour la prise en charge correcte des sollicitations des travailleurs de la Justice ».
La Conférence des Secrétaires généraux exprime sa solidarité aux travailleurs de la Justice et leur demande de rester mobiliser jusqu’à la satisfaction totale de leur demande légitime, lit-on dans un communiqué parvenu à PressAfrik.
C’est pourquoi, la conférence des Secrétaires généraux reste indignée par le silence des autorités étatiques face à une demande devenue récurrente en milieu syndical : le respect des accords paraphés par le Gouvernement et cette fois-ci, actés par des décrets dûment signés par le président de la République. Elle invite le ministre de la Justice à rétablir le fil du dialogue avec le SYTJUST et surtout à ne pas verser dans la menace d’une sanction injustifiée contre le Secrétaire général du SYTJUST qui, selon la conférence, « a le droit et le devoir de défendre les intérêts matériels et moraux de ses mandants. La sanction gratuite ne saurait être une réponse à une simple demande de dialogue et de concertation pour la prise en charge correcte des sollicitations des travailleurs de la Justice ».
La Conférence des Secrétaires généraux exprime sa solidarité aux travailleurs de la Justice et leur demande de rester mobiliser jusqu’à la satisfaction totale de leur demande légitime, lit-on dans un communiqué parvenu à PressAfrik.