Oumar Diallo, Président de l’Union Nationale des Boutiquiers du Sénégal, invité ce mercredi de l’émission Midi Keng sur PressAfrikTVHD, a déclaré que la rareté du sucre et de l’huile sur le marché a une répercussion directe sur la hausse des prix. Selon lui, le manque de ces produits a entraîné l’augmentation de leurs prix. Il dénonce un déficit de 200 000 tonnes de sucre sur le marché.
« Le sucre et l’huile sont devenus rares sur le marché, et cela a une répercussion directe sur les prix. La hausse des prix est due à la rupture de l’approvisionnement de ces produits. La plupart du temps, lorsque le produit est disponible, le prix peut varier, mais lorsque le produit est rare, cela se fait ressentir auprès de la population. Ce sont deux produits dont les prix ont été fixés. Leur prix a été homologué et personne n’a le droit de les augmenter », a déclaré Oumar Diallo.
Poursuivant ses propos, il précise que cette situation survient fréquemment à cette période de l'année. En 2023 et 2024, nous avons été confrontés à ce problème, et cette année encore, nous vivons la même situation. Il arrive parfois que de telles tensions se manifestent à certaines périodes de l’année, mais nous sommes en discussion avec le ministre du Commerce, qui nous a rassurés qu’il fera des efforts pour que les produits soient disponibles sur le marché. »
Il convient de noter qu'en 2023, le besoin en sucre du consommateur était estimé à 1 000 tonnes par jour, alors que la Compagnie Sucrière Sénégalaise (CSS) ne parvient pas à dépasser les 800 tonnes par jour, ce qui est insuffisant pour satisfaire la demande des consommateurs.
Selon le Président de l’Union Nationale des Boutiquiers du Sénégal, le Sénégal consomme entre 200 000 et 300 000 tonnes de sucre par an. La production de la CSS varie entre 100 000 et 150 000 tonnes par an, et il avait annoncé une production de 140 000 tonnes. On parle souvent de 100 000 tonnes, ce qui génère un écart de 200 000 tonnes que la CSS doit fournir sur le marché chaque année. Si vous y prêtez attention, c'est la CSS qui importe et qui produit. Nous devons protéger nos industries locales. On nous donne souvent des statistiques erronées et des chiffres incorrects. La direction du Commerce doit tout faire pour connaître la consommation réelle de sucre des Sénégalais chaque année. »
« Le sucre et l’huile sont devenus rares sur le marché, et cela a une répercussion directe sur les prix. La hausse des prix est due à la rupture de l’approvisionnement de ces produits. La plupart du temps, lorsque le produit est disponible, le prix peut varier, mais lorsque le produit est rare, cela se fait ressentir auprès de la population. Ce sont deux produits dont les prix ont été fixés. Leur prix a été homologué et personne n’a le droit de les augmenter », a déclaré Oumar Diallo.
Poursuivant ses propos, il précise que cette situation survient fréquemment à cette période de l'année. En 2023 et 2024, nous avons été confrontés à ce problème, et cette année encore, nous vivons la même situation. Il arrive parfois que de telles tensions se manifestent à certaines périodes de l’année, mais nous sommes en discussion avec le ministre du Commerce, qui nous a rassurés qu’il fera des efforts pour que les produits soient disponibles sur le marché. »
Il convient de noter qu'en 2023, le besoin en sucre du consommateur était estimé à 1 000 tonnes par jour, alors que la Compagnie Sucrière Sénégalaise (CSS) ne parvient pas à dépasser les 800 tonnes par jour, ce qui est insuffisant pour satisfaire la demande des consommateurs.
Selon le Président de l’Union Nationale des Boutiquiers du Sénégal, le Sénégal consomme entre 200 000 et 300 000 tonnes de sucre par an. La production de la CSS varie entre 100 000 et 150 000 tonnes par an, et il avait annoncé une production de 140 000 tonnes. On parle souvent de 100 000 tonnes, ce qui génère un écart de 200 000 tonnes que la CSS doit fournir sur le marché chaque année. Si vous y prêtez attention, c'est la CSS qui importe et qui produit. Nous devons protéger nos industries locales. On nous donne souvent des statistiques erronées et des chiffres incorrects. La direction du Commerce doit tout faire pour connaître la consommation réelle de sucre des Sénégalais chaque année. »